Le bus
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
hotel,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... couvrir d’une capote. Ma chatte est à lui, ouverte, grasse de sa salive avec mon plaisir, et son mandrin s’y glisse avec envie.
Il est en moi. En deux secondes cet homme m’a prise devant mon mari, mais ni lui ni – surtout – moi ne protestons. Je le sens conquérant, dur, envahissant. Il me remplit. C’est drôle, j’ai toujours trouvé cette expression vulgaire mais c’est la seule qui convienne. Oui, il me remplit de sa virilité et déjà fait preuve de vouloir encore plus.
Serge commence à bouger.
— Elle est bien ouverte.
Encore une façon de dire à mon mari que je suis bien la "coquine" qu’il pensait. Mais Paul n’a pas besoin d’être réconforté ou rassuré. Il s’est levé de son siège pour mieux nous regarder, et comme moi il peut voir cette longue tige sortir puis rentrer sans effort dans ma fente.
Mon amant me baise. Ses avancées sont profondes. À chaque fois qu’il ressort et que je vois réapparaître son gland étouffé dans le latex, j’ai l’angoisse qu’il cesse. Mais non, personne ici ne veut que cela s’arrête. Et je vois au fil des secondes que petit à petit Serge se laisse aller. Il a quitté le costume du professeur, éducateur d’une pratique si singulière, formateur de couples en recherche de plaisirs différents pour n’être qu’un mâle qui possède une femme. Ses mouvements sont moins amples mais plus forts et rapides. Sa bite ne quitte plus la chaleur de ma fente. Elle s’y promène, me labourant délicieusement.
Instinctivement, je referme mes jambes sur lui. Seuls ...
... ses reins le propulsent. Et pourtant il va-et-vient avec force. J’entends son souffle qui accompagne chacune de ses avancées. Mon dos devient douloureux à force de râper contre le mur. Je cherche à m’en libérer en m’accrochant à son cou. Il me soulève. Je flotte sans autre point d’appui que cette bite sur laquelle je suis empalée. Il me tient et je m’agrippe à lui.
Les quelques pas qu’il fait pour se tourner et nous amener vers le lit sont fantastiques. Il me porte, et pourtant j’ai l’impression que je m’enfonce encore plus sur son mandrin. Le lit est devant nous. Il me soulève, me détachant de son pieu pour me poser à terre. Je me sens vide, abandonnée, mais Serge me guide. Il me place à genoux sur le lit, levrette évidente. La saillie est forte et je manque de partir en avant sous le coup de boutoir. Une main me force à poser ma tête sur la couverture, forçant une cambrure que je ne refuse pas, au contraire.
L’amant policé cède la place à l’amant possessif. Mes hanches sont des poignées où il s’agrippe, où il me retient, m’attire. Son ventre claque contre mes fesses. Ma chatte miaule de tant de chaleur et d’humidité par un clapotis que Paul doit entendre aussi. Car Paul est toujours là, témoin passif de ce spectacle qu’il a désiré.« Tu vois, mon chéri, j’ai fait comme tu avais envie. Je me donne à cet homme que tu as choisi pour moi. Merci de cet amour qui me donne tant de plaisir. Tu me regardes et cela m’excite aussi. Cet homme est le meilleur des amants grâce à sa ...