Ma première exhibition
Datte: 21/09/2018,
Catégories:
fhh,
inconnu,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
Auteur: Liliestacroquer, Source: Revebebe
... me posai pas la question bien longtemps… Au coup de rein suivant, j’ouvris bien grand la bouche et laissai entrer le sexe avide de l’homme. Je réussis à ne pas le lâcher, suçant, aspirant, léchant cette queue qui n’attendait que ça. L’excitation de Matt était à son comble derrière moi. Ses coups de reins s’intensifiaient, mon plaisir montait, chauffant mon bas ventre et je sentais également la verge se durcir encore plus dans ma bouche. Jamais je n’avais sucé le sexe d’un inconnu comme cela, en gémissant sous les coups de butoir de mon homme, prise par les deux côtés. C’était tellement nouveau et tellement bon !
Lorsque Matt se mit à jouir en moi, je ne pus résister et un formidable nouvel orgasme m’inonda, mais l’homme devant moi n’était pas encore parti. Avec tout ce qu’il m’avait donné, je ne pouvais pas le laisser comme ça. J’entamai une fellation plus calme, plus attentionnée, tout en le branlant légèrement avec ma main. Je savais qu’à ce rythme-là, il n’allait durer… Je sentis son membre se durcir et les longues giclées partir au fond de ma gorge, chaudes et épaisses. Je me retins de ne pas ...
... avaler alors que j’en avais envie et je restai, la bouche ouverte pleine de son foutre. L’homme m’attrapa par les cheveux et me tira le visage en arrière. Ils échangèrent un signe avec Matt que je ne compris pas tout de suite. L’homme me tira encore un peu plus en arrière. Instantanément je compris et j’ouvris grand la bouche. Le sperme était resté là, sur ma langue. Épais, il commença à couler sur les côtés. J’entendis ce commentaire « Quelle belle chienne ! » et l’instant d’après j’entendis le déclic de l’appareil photo d’un téléphone portable. L’homme lâcha mes cheveux et s’évanouit dans la nature, comme il était venu. J’étais harassée, pantelante, exténuée, mais comblée, heureuse.
Le lendemain, en allant travailler, en marchant dans la rue, j’ai croisé beaucoup d’hommes. Je les regardais. Je me demandais lequel j’avais pu voir la veille.
Il devait y avoir un homme, là, dans cette ville, un homme aux doigts rugueux, qui se promenait avec, dans son répertoire de téléphone portable, la photo de mon visage, ébouriffée, tirée par les cheveux, et la bouche grande ouverte débordant de sperme chaud !!