1. Ma première exhibition


    Datte: 21/09/2018, Catégories: fhh, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme init, Auteur: Liliestacroquer, Source: Revebebe

    ... cette lumière crue. Je distinguais très mal l’extérieur. Où était donc notre voyeur ?
    
    — Écarte bien les cuisses et ton string.
    
    J’avançai les fesses sur le fauteuil pour mieux écarter mes cuisses. Je plaçai le string sur le côté gauche de ma chatte pour que notre voyeur ait la meilleure vision possible de mon sexe. La situation commençait à m’exciter. Je jouai un instant avec mes lèvres qui s’ouvrirent sans difficulté. Plaçant deux doigts de chaque côté, j’ouvris le plus largement possible mon vagin. C’était la première fois que je montrais si ostensiblement mon intimité à un inconnu et j’avoue que j’y prenais un plaisir fou. D’ailleurs, cela se voyait, car je commençais à être trempée : mes lèvres luisaient maintenant. J’introduisis un premier doigt qui s’enfonça sans aucune difficulté. Je l’enfonçai le plus profondément possible et me lançai dans quelques mouvements d’entrées-sorties dont j’avais tant envie. Mon souffle s’accéléra. J’apercevais vaguement le visage de notre voyeur collé contre la vitre et cela m’excita encore plus. Ostensiblement, à la position de sa main et de son bras, je savais qu’il était en train de s’astiquer. Cette situation provoqua en moi une première montée de chaleur et mes gémissements s’amplifièrent.
    
    À ce moment-là, Matt descendit d’une dizaine de centimètres la vitre de mon côté. Les bruits de l’extérieur pénétrèrent dans l’habitacle. Le bruit des arbres dans la nuit et un souffle, un peu haletant, un murmure…
    
    — Vous êtes très ...
    ... belle.
    
    Le rouge me monta aux joues.
    
    — Je peux voir vos seins ?
    
    Je dégrafai mon petit haut à la demande de cet homme, là, posté dehors et qui m’observait. Il voyait tout de moi, toute mon intimité : mon sexe humide et largement ouvert et maintenant mes seins, petits, dressés, aux tétons durs et fiers. De lui, de cet homme, je ne savais rien. J’avais à peine entraperçu son visage. J’accélérai encore le mouvement de mes doigts dans mon sexe. Je me masturbais devant deux hommes, pour deux hommes.
    
    — Vas-y salope, donne-toi du plaisir.
    
    L’homme à l’extérieur se permettait maintenant de m’insulter et j’adorais ça ! Mes doigts glissaient dans mes profondeurs aussi voracement que mon envie de jouir. Mes derniers gémissements de plaisir s’échappèrent par la vitre et ricochèrent dans la nuit.
    
    — On va passer derrière maintenant, décida Matt après ce premier orgasme.
    
    J’avais encore envie. J’avais envie de sa queue, en moi… On s’installa sur la banquette arrière en allumant une nouvelle lumière. Matt était assis, sa queue sortait du pantalon tel un fantastique obélisque dressé sur la place de ma libération sexuelle. Je m’installai à genoux sur la banquette et je me penchai avidement pour le prendre en bouche. Le bras tendu, Matt réussit à remonter ma jupe et à exhiber mon cul bien rond, blanc, fendu par la ligne noire de mon string ficelle, au regard avide du voyeur.
    
    Lorsque je compris ce qu’était en train de faire Matt, je décidai de ne pas bouger, de continuer à le sucer ...