1. Ma première exhibition


    Datte: 21/09/2018, Catégories: fhh, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme init, Auteur: Liliestacroquer, Source: Revebebe

    La première fois que j’ai commis un acte libertin, c’était il y a 6 ans. J’en avais alors 26. Avec Matt, mon compagnon, nous en avions longuement discuté. Pour la première fois de ma vie, je pouvais parler librement de mes fantasmes de femme à un homme sans me sentir jugé. Il m’incitait d’ailleurs à en raconter plus et, chaque fois, se trouvait dans un tel état d’excitation qu’il finissait par me faire l’amour… Ce qui n’était pas pour me déplaire !
    
    Nous nous étions déjà exhibés en webcam, sur l’ordinateur, et j’étais restée fascinée par le désir des hommes sur ma petite personne. Je me savais mignonne, mais de là à voir s’ériger des montagnes de sexes et de voir couler des torrents de plaisir, il y a un pas que je n’aurais pas imaginé ! Je mesure 1m68 pour 57 kilos, je suis brune avec une petite mèche qui tombe sur mon œil et me donne un air canaille. Mes seins sont petits (85 b) mais fermes et pointus ce qui me permet souvent de ne pas porter de soutien-gorge pour le plaisir des hommes qui peuvent souvent voir mes tétons pointer sous le tissu. Je suis montée sur d’assez longues jambes, fines et assez bien galbées qui mènent les regards sur mes fesses rondes et cambrées ! Pour ma part, je les trouve trop grosses. Mais les hommes disent souvent de moi que j’ai un cul de black, ce qui semble les fasciner. Quand je porte des mini-jupes, la rondeur de mes fesses, mais surtout ma cambrure, fait que le tissu remonte de plusieurs centimètres au fur et à mesure que je marche dans ...
    ... la rue et il n’est pas rare que la lisière de mes bas ou, mieux, la naissance de mon cul soit à découvert. Je dois régulièrement m’arrêter pour remettre tout ça en place si je ne veux pas finir les fesses à l’air (et comme je porte toujours des strings, la vue est imprenable !)… Même s’il m’arrive d’oublier et de ne plus y penser. Mes compagnons précédents ne me laissaient pas sortir comme ça, « t’es habillée comme une pute ! » me balançaient-ils souvent, et je finissais par porter de grandes jupes ou des robes qui masquaient mes formes. J’ai compris plus tard que ce qui les gênait le plus c’était effectivement mon cul, omniprésent dans ma silhouette fine et objet d’un culte fasciné chez les hommes.
    
    Un cul de salope c’est ainsi qu’ils en parlent entre eux. J’imagine que mes précédents mecs ne devaient pas aimer que leurs copains viennent les voir en leur disant "Dis donc ta copine, elle a un sacré cul de salope !". Avec Matt, c’est tout le contraire : il aime lorsque je porte ce type de vêtements. Il est également fasciné par ma silhouette et ça ne le gêne absolument pas que les autres hommes que nous pouvons croiser dans la rue ou dans des magasins le soient tout autant que lui. Même lorsqu’il n’est pas là et que je dois sortir seule, il me laisse m’habiller comme je veux, aussi court que je le souhaite. Simplement, il aime alors que je lui raconte à mon retour s’il y a eu des réactions d’hommes ou de femmes, des regards appuyés ou plus…
    
    Ce soir-là, nous avions décidé ...
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