Ma première exhibition - Histoires de Sexe

Ma première exhibition

... consciencieusement. Je compris en sentant le courant d’air frais remonter le long de mes fesses puis de mon dos que la fenêtre derrière moi était maintenant grande ouverte. Je frissonnai. Était-ce le froid ou le contact de ses doigts, doigts d’un inconnu sur mes cuisses ? Ils étaient maintenant sur mes fesses, sur mon dos et me caressaient doucement. Je crois que j’avais toujours eu envie de vivre ce genre de situation. Dès mon plus jeune âge, dès mes premiers éveils à la sexualité, les images qui avaient peuplé mes premiers attouchements tournaient sans cesse autour d’une femme offerte, d’une pluralité de corps masculins, d’une pluralité de verges, comme si une seule n’avait pas suffi… Le moment était venu de passer à l’acte. Les mains de l’homme palpaient mes fesses, glissant parfois sur ma chatte puis remontant très vite sur mes rondeurs. N’osait-il pas ? Je réussis à écarter un peu plus les cuisses pour bien lui faire comprendre ce que je voulais. Il ne fut pas long à réagir. Ses doigts s’attardèrent enfin sur mon sexe, jouant avec les lèvres, les écartant. Il introduisit bientôt un premier doigt en moi. Son doigt était long, fort et rugueux. J’avais l’impression d’avoir deux doigts de Matt, mon compagnon. Je n’avais pas pensé à ça : que ça allait être différent… Peut-être meilleur…

Il m’astiqua d’abord doucement, gentiment, mais comme je me cambrais davantage les fesses, il comprit que j’en demandais plus. Il accéléra le mouvement, se fit plus volontaire. Il entra un ...

... deuxième doigt ce qui eu pour effet de m’écarter complètement ce qui lui fit comprendre que je pouvais m’ouvrir encore mieux ! Un troisième doigt, puis, très vite, un quatrième, vinrent me remplirent complètement. J’étais folle d’excitation. Il allait et venait en moi de plus en plus vite. Je ne pouvais pas crier, car Matt s’était emparé de ma bouche et ne la lâchait plus. Je savais qu’il ne perdait pas une miette du spectacle de cet inconnu, cet homme, qui me pilonnait le fondement avec la farouche volonté de me faire jouir. Lorsque je sentis un autre doigt, le pouce de son autre main titiller puis pénétrer la petite fleur sauvage de mon anus, je crus à l’extase. Son gros pouce entra en moi en un instant seulement, jusqu’à la garde. J’étais ouverte de partout, épanouie, et je connus un orgasme intense sous le pilonnage en règle de ces doigts.

Je n’eus pas beaucoup de temps pour reprendre mon souffle. Les deux hommes me retournèrent. Mon visage était maintenant du côté de la vitre ouverte, mes fesses offertes vers Matt. Je ne voyais toujours pas le visage de mon inconnu qui venait de me donner autant de plaisir avec ces doigts. Par contre, sa verge était là, à quelques centimètres de ma bouche. Matt, de son côté, venait d’enfiler sa queue bien raide dans mon sexe bien humide. Mon Dieu que j’aime cette queue, épaisse, droite et surtout bien dure ! Son premier coup de reins me rapprocha encore un peu plus du membre que l’homme tenait dans sa main. Que devais-je faire ? Je ne ...