Le TGV de 15 heures
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
inconnu,
hotel,
train,
fsoumise,
hdomine,
extraconj,
Auteur: Cedral, Source: Revebebe
... position insolite, il examina avec plaisir, et avec tous ses sens, ce qui était à proximité de ses yeux, de ses doigts, de sa bouche.
L’affaire prit un certain temps car le fruit était superbe et, dégagé de toute contrainte, plaisant à lutiner. Ses doigts parcouraient très lentement la fente, qu’ils faisaient frémir à chaque effleurement. La bouche y posait ensuite un baiser appuyé. La femme commençait à ahaner sérieusement, à râler bientôt. Il dut la rappeler à son devoir de silence.
Il se releva et vint très directement poser ses doigts sur les lèvres de la bourgeoise
— Choisissez-en un, en le suçant, lui intima-t-il.
Un peu incrédule, elle crut quand même comprendre assez vite que ce choix serait celui du doigt qui la pénétrerait.
— Erreur ma belle, car vous le pensez bien, ils voudront bien entendu tous vous pénétrer ; le choix n’est relatif qu’à celui qui vous pénétrera le premier, le plus profond et celui que vous goûterez ensuite…
Dans cette position offerte, appuyée contre la paroi, les pieds éloignés du mur, et écartés entre eux, les seins lourds pendant vers le sol, la femme si élégante du train n’était plus vêtue que de sa culotte, à demi baissée, comme elle était elle-même à demi baisée, et de ses escarpins. Il continua à la besogner avec goût et plaisir tout en profitant de sa liberté pour se déshabiller lui-même en ne gardant que son slip. Il libéra enfin sa partenaire en l’autorisant à se dégager de ce mur contre lequel elle était appuyée ...
... depuis un certain temps. Il la couvrit de baisers pour la remercier de ce premier moment et elle se crut le droit d’utiliser ses mains. Que non !
Il lui imposa alors de garder les doigts croisés derrière la nuque. Il avait alors une vue complète et réellement impudique sur cette bien belle femme quasiment prisonnière de cette position, perchée sur ses superbes escarpins et entravée par sa culotte, toujours à mi-cuisses, qui limitait sérieusement l’amplitude de ses pas qui lui présentait ses aisselles, presque obscènes.
Il la regarda doucement avant de lui dire calmement
— Il vous faut maintenant terminer de me déshabiller.
Maintenant parfaitement habituée à obéir sans barguigner, elle comprit qu’elle n’avait rien d’autre à faire que de s’agenouiller devant l’homme debout et, les mains toujours croisées derrière la tête d’utiliser sa bouche et ses dents pour lui enlever son slip. L’exercice exigea encore de belles contorsions jusqu’à ce que l’homme fût complètement nu, le sexe évidemment au garde-à-vous très disposé à rendre à la dame l’hommage qu’elle attendait pour récompense de son efficace action.
Il aimait suggérer sans imposer, faire en sorte que la docilité absolue de sa partenaire s’affiche au grand jour.
— Pourquoi donc vous ai-je demandé tout à l’heure de mettre une couette sur cette grande table, à votre avis ?
La femme comprit bien sûr instantanément et se dirigea sans hésiter vers la table. L’impossibilité d’utiliser ses mains la conduisit à ...