Pirates!
Datte: 19/09/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... plus tard, quatre violents chocs de chaque côté du voilier...
Les longues barques s'étaient collées violemment contre les flancs du voilier.
Immédiatement quatre échelles en U à sept barreaux, deux de chaque côté avaient été plaquées contre la coque et les hommes grimpaient aux échelles. Ils étaient déjà sur le pont... C'était fini...
Le voilier était tombé aux mains de quelques jeunes gaillards sachant manier une pirogue et une kalachnikov en mâchant du khat.
Ils étaient partout sur le pont.
Les deux femmes les entendaient courir, crier, rire.
Ils saluaient leur victoire. Ils fêtaient la prise du voilier. Ils exaltaient, ils se glorifiaient...
Jean-Jacques étaient entouré de plusieurs pirates qui lui braquaient leurs armes sur lui. Ils étaient menaçants et très agressifs.
Il avait eu droit à plusieurs coups de crosse sur le corps, sur les côtes, mais aussi sur le visage.
Les mecs avaient les yeux injectés de sang. Ils devaient être drogués à mort...
Ils lui gueulaient dessus "- AMERICAN!!!! AMERICAN!!!!!"
Jean-Jacques répondait " NO FRENCH, FRENCH, FRENCH PEOPLE!!!!!!"
Mais ils continuaient à le frapper en vociféraient "AMERICAN AMERICAN NO FRENCH FRENCH"
Les sauvages avaient commencé à piller le voilier et à récupérer tout ce qui pouvait se récupérer sur le pont. D'autres étaient descendus et ils fouillaient le voilier. D'abord, il y avait eu des cris, des braillements de joie, des exhortations, des applaudissements. Des éclat de ...
... rires d'hommes, de l'hilarité. Des appels dans leur dialecte car tous ceux qui étaient sur le pont étaient descendus dans le voilier, laissant Jean-Jacques sous la garde d'un seul pirate. Un très jeune, qui lui aussi mourrait d'envie d'aller voir ce qui se passait en bas.
A son regard, Jean-Jacques avait bien compris que le mec drogué hésitait à lui tirer une rafale à bout portant....
Puis il y avait eu les cris, les hurlements, les pleurs et les plaintes des deux femmes. Il y avait aussi eu des ordres. Certainement des commandements des chefs. Les deux femmes étaient apparues sur le pont du voilier. Enfin disons plutôt qu'elle avaient été hissées, tirées par les bras et par les poignets, poussées par les fesses, littéralement extraites et arrachés de l'intérieur du voilier.
Les deux femmes avaient du être sérieusement malmenées et maltraitées, et surtout beaucoup tripotées et pelotées, car le peu de vêtement qu'elles portées était bien défait et en désordre.... Elles étaient apeurées, épouvantée et terrorisées. Elles étaient debout, serrées l'une contre l'autre, sous la garde de quatre ou cinq hommes armés. Les mecs tournaient autour d'elles comme des mouches autour de la confiture. Ils frôlaient, ils se frottaient à elles. Ils avaient les yeux, remplis de désir, qui leur sortaient de la tête. Des yeux de drogués. Ils mâchaient toujours leur espèce de feuilles, le khat.
Jean-Jacques lui était à présent gardé par trois autres mecs armés. Parfois ils continuaient à lui ...