Pirates!
Datte: 19/09/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... famille, leurs amis grâce aux réseaux sociaux, eux avaient au contraire fermé leurs comptes facebook et twitter.
D'un commun accord, ils avaient décidé de tirer un trait sur leur vie d'avant et sur leur passé, tellement ils étaient déçus.
Ils étaient donc partis depuis plus de huit mois. Tout se déroulait à merveille, sans aucun problème. Ils vivaient de leur pêche. Ils se baignaient. Ils faisaient aussi des petites escales pour se ravitailler, visiter un peu les endroits où ils se trouvaient en espérant peut-être y revenir un jour pour s'y installer.
Pour Jean-Jacques, 57 ans, les cheveux grisonnants coupés en brosse, grand, carrure athlétique, musclé, très bronzé, le visage buriné par la mer c'était vraiment la belle vie.
Sylvie elle, avait 53 ans. C'était une belle femme mature, de taille moyenne, blonde, les cheveux mi-longs, les yeux bleus, un joli visage, le teint très clair, la peau très blanche. Pour elle c'était également la belle vie, sans aucune contrainte. Contrairement à la vie très actives qu'ils avaient connu auparavant, avec les réunions, les déplacements professionnels, les transports en commun, etc., etc...
A part que pour elle, avec sa peau très blanche et laiteuse même, il lui fallait faire très attention aux coups de soleil. Elle était souvent en maillot certes, mais aussi très souvent en paréo ou en tee-shirt.
La particularité de Sylvie était qu'elle était très plantureuse, très pulpeuse, qu'elle avait une très grosse poitrine. Elle ...
... faisait un bon 100 bonnet E.
Puis il y avait eu la rencontre avec Marion. Cela faisait pratiquement un mois que la jeune femme était avec eux sur le voilier.
Ils avaient récupéré Marion dans un très sale état, salement amochée, abîmée même.
Après que le couple ai fait une petite escale, alors qu'ils rentraient du resto où ils s'étaient accordé une petite folie pour fêter leur anniversaire de mariage, ils avaient entendu des pleurs de femme dans une ruelle sombre.
Bien naturellement ils étaient aller voir ce qui se passait. Là ils avaient découvert une jeune femme pratiquement nue, les vêtements déchirés, lacérés, arrachés, en lambeaux.
Une jeune femme hébétée, pratiquement inerte, qui n'avait plus que la force de pleurer et de sangloter.
A voir les traces de coups sur son visage et sur son corps, ainsi que les traces de griffures et de morsures, il ne fallait pas être très malin pour ne pas voir que la jeune femme venait de se faire salement et brutalement violée.
Si par hasard on pouvait en douter, il n'y avait qu'à voir les traces blanchâtres, gluantes de sperme partout sur son corps ou qui ressortait de ses orifices...
Ils l'avait aidée à se relever. La pauvre fille ne pouvait presque pas se tenir debout, ni marcher. Les mains de Jean-Jacques sur son corps pour essayer de la relever, pour la soutenir lui déclenchait des crises de panique et de frayeur.
Sylvie l'avait rassurée du mieux qu'elle pouvait.
Par chance pour elle, pourrait on dire, la ...