-
Pirates!
Datte: 19/09/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... donner méchamment des coups de pieds et des coups de crosses. Ils discutaient entre eux en riant tout en regardant les femmes. Pas besoin de s demander ce qu'ils disaient ... Sous les directives de celui qui semblait être le chef, le pillage du voilier avait commencé. Tout allait très vite. Les mecs emportaient tout ce qu'il pouvaient. Des vêtements, de l'agent, l'ordi, etc. mais aussi des coussins de mousse. Un véritable pillage et saccage en règle. Ils récupérer tout ce qu'il pouvaient emporter. Il fallait faire vite. La coque touchée et perforée par un nombre important d'impacts de balles, le voilier commençait à prendre l'eau et à pencher et s'enfoncer dangereusement. Mais tout allait très rapidement. Tout ce qui était pillé était jeté dans les barques. Puis ça avait été au tour des deux femmes d'être mise dans les barques. A ce moment là, grande dispute et palabre des mecs. Tous les voulaient dans LEUR barque.... Ils se querellaient. Certains voulaient les séparer et les mettre dans différentes embarcations... Mais encore des disputes. Tous les voulaient dans la leur. Le problème avait été vite réglé. Les femmes avaient été transférées dans le skiff du chef... Elles avaient été poussées, tirées, portées même. Elles avaient été obligées d'emprunter l'échelle métallique sous les regards avides des mecs et surtout sans ménagement. Mais pas sans pelotage... Elles avaient atterries dans la barque. On les avait forcées à l'allonger dans le ...
... fond de la barque, au milieu des bidons d'essence, des armes, des cordes et pleins d'objets divers. Jean-Jacques était toujours sur le voilier. Il y avait encore eu une grande discussion et dispute même entre les gars. Beaucoup gueulaient "Kill the man!!!! Throw has the sea!!!!!" Il comprenait que certains voulaient le tuer et le jeter à l'eau... Mais le chef insistait "No no American dollars".... IL avait eu la vie sauve à cause de l'espoir de rançon que l'autre espérait toucher. Jean-Jacques avait été littéralement jeté dans le barque du chef. Il avait atterri sur son épaule blessée. Le chef avait donné des directives. Le voilier avait été arrosé d'essence. Les embarcations s'étaient éloignées. Un bouteille remplie d'essence avec un chiffon enflammé avait été jetée. Le voilier s'était immédiatement embrasé et enflammé. Moins de dix minutes après, il sombrait. Plus aucune trace du voilier. Les embarcations fonçaient à toute vitesse vers le cargo, vers le navire-mère. A l'intérieur du skiff, les femmes étaient malmenées par les vagues et les sauts des vagues. Elles étaient secouées et ballottées. Jean-Jacques aussi. Ses blessures lui faisait mal. Il perdait du sang. Ils étaient toujours sous la garde des mecs armés. Les femmes allongées au fond de la barque recevaient des paquets de mer. Cela faisait rire les gars. Ils mettaient leurs pieds sur elles pour les immobiliser et pour les empêcher de bouger, Mais ils mettaient aussi leurs mains ...