1. Serva tua sum


    Datte: 18/09/2018, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, Oral attache, init, initiatiq, fsoumisah, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ?
    — La mode de cette époque s’était beaucoup inspirée de l’antiquité classique, celle du premier siècle. Une période que je connais d’ailleurs très bien.
    — Avec un tel pseudo, Suétone, le contraire eut été étonnant !
    — Je ne vous le fais pas dire ! Vous pouvez vous tourner sur la gauche ? Oui, comme ça, merci ! Bien !
    
    Il continue à me mitrailler. Puis je passe devant une psyché, je réalise alors pleinement comment, en plein jour, je suis habillée ! Tout à l’heure, c’était dans une semi-obscurité, maintenant c’est très différent !
    
    Cette robe est ultra vaporeuse, légère comme une toile d’araignée, et tout aussi transparente ! Elle ne cache pas grand-chose de mes formes, je dirais même que je suis plus nue que nue dedans, c’est assez troublant, d’autant plus que cela me va très bien, je n’y aurais jamais cru. Les rubans dans mes cheveux et sur mon corps harmonisent le tout en une autre femme, une femme qui aurait pu vivre il y a quelques siècles, une femme dans son élément.
    
    — Fini ! Si vous voulez vous contempler sur petit écran plutôt que dans un miroir…
    — Ah… euh…
    
    Je rougis, il me tend l’appareil :
    
    — La flèche vers la gauche pour voir toutes les autres photos…
    — Toutes les autres photos ? Vous en avez pris tant que ça ?
    — Pourquoi se limiter dans l’agréable ?
    
    C’est à mon tour de ne rien répondre. Je découvre encore une autre moi-même sur le petit écran, une Symya très différente mais très sensuelle. Pourtant, je n’en suis pas à ma première image de ...
    ... mon corps, mais ici, c’est assez contraire à l’image que je projette dans mon blog. Une femme lointaine et si proche, cette robe aérienne qui lui va si bien, ses seins magnifiés, sa taille un peu ronde, ses hanches voluptueuses, et surtout ce regard si… lumineux !
    
    Cette femme si impudique et si offerte…
    
    — C’est moi, ça ?
    — Oui, bien sûr. Vous vous êtes forgé votre propre idée de vous-même, passant à côté de votre moi profond.
    — Mon moi profond ? Et vous vous proposez de me le révéler ?
    — Si vous êtes d’accord, bien sûr. Je n’ai jamais forcé une femme dans cette voie. Vos photos, celles de votre blog, sont très belles. Incontestablement. Mais elles sont trop… lisses. Votre réalité profonde est plus… abrupte, escarpée.
    — Abrupte ? Escarpée ? Je ne comprends pas…
    
    Il tend la main, j’y glisse l’appareil photo qu’il met dans sa poche. Un large sourire :
    
    — Vous en aurez copie par mail.
    — Nous en étions à ma réalité profonde qui serait abrupte…
    — Abrupte et escarpée, en effet. Je dois vous avouer que parfois les mots ne sont pas à la hauteur de ce qu’il y a à expliquer…
    — Pas à la hauteur, venant de vous, ça m’étonne ! Vous êtes comme un poisson dans l’eau avec les mots !
    — Vous me flattez, les mots ne sont qu’un simple aspect du monde qui nous entoure, de simples ombres, comme dans la caverne de Platon… Pour faire simple, vous avez en vous un énorme potentiel qui ne demande qu’à éclater au grand jour, une soif latente mais irrésistible d’être soumise, être à ...
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