1. Marlène (chapitre 11)


    Datte: 27/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... la maîtresse. Cinq centimètres et demi, c’est Mamadou. On m’a dit que tu n’avais pas trouvé ça dégueulasse. Je me trompe?
    Non, Maîtresse, répondit Marlène dans un râle.
    Bien, continuons, alors. Toujours très lentement, elle reprit la rotation. Au bout de deux minutes, Marlène recommença à hurler. « Arrêtez! Arrêtez! Vous allez me déchirer! Elle sentait ses chairs au bord de la rupture et une douleur atroce irradiait de ses genoux à son estomac. Elle criait, la voix noyée de larmes: « Pitié, Maîtresse, je n’en peux plus! Pitié! »
    Ferme-la! Répondit la maîtresse. On est à sept centimètres. Un mioche, c’est  neuf ou dix centimètres, tu ne te souviens pas? 
    Elle donna un nouveau tour de vis, provoquant de nouveaux hurlements, plus aigus encore. Marlène était à bout. Soudain, elle cessa de crier. Elle s’était évanouie.
    La maîtresse parut surprise et déçue. Elle se tourna vers Monsieur et lui dit sur un ton de dépit: « Elle est un peu douillette, ta nana. Il faudra l’endurcir. »
    Elle dévissa l’écarteur et le retira. Ensuite, elle se leva et alla chercher un grand verre d’eau à la cuisine. Elle le jeta au visage de Marlène, qui reprit conscience, en toussant.
    La première chose qu’elle constata avec soulagement, c’était la disparition de la poire. Son vagin restait douloureux mais cette présence menaçante n’était plus là. La maîtresse était assise sur le bord de la table et la regardait, l’air sévère.
    Alors ma douce, on ne tient pas le coup? Il faudra t’en durcir un peu. Ce ...
    ... genre de choses t’arrivera régulièrement. 
    Elle se remit à lui pétrir les seins, ravivant la douleur des pinces. Marlène grimaça.
    Je vais te les enlever progressivement, dit la maîtresse. Une toutes les dix secondes. Si j’ai bien compté, il y en a cinquante-quatre. Ça va donc prendre un peu moins de dix minutes, si tu es sage. Je ne veux rien entendre. Au moindre cri ou au moindre gémissement, on passe de dix secondes à une minute. Tiens-toi tranquille, sinon ça pourrait durer près d’une heure. Tu as bien compris?
    Oui, Maîtresse, répondit Marlène en tremblant.
    Elle serra des dents et attendit. Pas longtemps. La première pince fut enlevée se son mamelon droit. Bloquant sa respiration, elle parvint à garder un silence relatif. Une autre pince disparut, cette fois de son sein gauche. Elle bloquait sa respiration à chaque fois. Ça fonctionnait, malgré la douleur, elle parvenait à garder le silence.
    La maîtresse continua, comme tout à l’heure, alternativement d’un côté à l’autre, de l’extérieur de l’aréole vers l’intérieur. C’était horriblement douloureux et ça lui paraissait interminable. Au début, elle avait commencé à les compter, puis perdue dans sa souffrance avait perdu le fil. Elle pouvait apercevoir les pointes de ses seins, qui se libéraient peu à peu. Les marques des pinces ne disparaissaient pas. Elle restaient profondes et bleuâtres. Bientôt, il ne resta plus que les six pinces sur chaque téton, les plus douloureuses.
    La maîtresse entreprit alors de saisir chacune ...