1. Marlène (chapitre 11)


    Datte: 27/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... terrifiants, encore. Elle ouvrit sa mallette et en sortit un objet métallique, brillant, de vingt centimètres de long environ. Dans un premier temps, Marlène ne le distingua pas à travers ses larmes. Tout était flou. Ce fut quand la maîtresse lui lit à quelques centimètres du visage qu’elle l’identifia. C’était la poire d’angoisse, l’un des pires instruments de torture du moyen âge.
    Il s’agissait d’un cylindre métallique d’environ trente millimètres de diamètre, arrondi sur l’une de ses extrémités, séparé en trois dans le sens de la longueur et dont un système de vis sans fin permettait d’augmenter le diamètre jusqu’à dix ou douze centimètres. On l’introduisait dans le vagin, l’anus ou même la bouche du supplicié, puis on tournait la vis, distendant les tissus, jusqu’à les déchirer. 
    Marlène se débattit de toutes ses forces, agitant la tête de gauche à droite, gémissant sous son bâillon. Elle était terrorisée.
    Et bien ma belle, lui dit la maîtresse, on dirait que tu sais ce que je tiens en main. Je te trouve bien étroite du vagin et je vais t’élargir. Ça va te rappeler tes deux accouchements, tu vas voir. 
    Elle plaça l’objet devant la bouche de Marlène. Je vais t’enlever le bâillon. Lèche ça sur toute sa surface, il faut qu’il soit bien lubrifié. Si tu n’y arrives pas, je l’enduis de tabasco. Ça glisse bien aussi, tu sais.
    Débarrassée de cette boule dans sa bouche, Marlène se remit à hurler. La maîtresse en profita pour lui enfoncer le cylindre dans la gorge, la ...
    ... réduisant de nouveau au silence.
    Tu vas la fermer et lécher ce truc, hurla t-elle. C’est ta dernière chance!
    Elle le retira et le posa sur ses lèvres, le faisant tourner et glisser de gauche à droite. Marlène sortit la langue, chercha de la salive dans sa bouche et lécha le cylindre, pendant plus d’une minute.
    Ça suffit, dit la maîtresse, on va passer aux choses sérieuses.
    Elle s’était rassise entre les cuisses de Marlène. Elle appuya l’extrémité de l’instrument sur l’entrée de son vagin, attendit quelques secondes, puis l’enfonça d’un coup, avec brutalité. Marlène poussa un cri de douleur.
    Silence, cria la maîtresse. Dans quelques minutes, tu auras de bonnes raisons de gueuler, je te le promets. 
    
    Elle commença à tourner la vis, doucement. Marlène sentait l’objet grossir en elle mais ce n’était pas encore douloureux. Elle avait tellement peur qu’elle avait complètement oublié les pinces qui lui broyaient les mamelons.
    Après chaque tour de vis, elle glissait son doigt dans sa bouche et caressait doucement le clitoris. 
    Malgré l’horreur de la situation, Marlène sentait le plaisir monter en elle, irrépressible. Elle avait le sentiment que la peur et la douleur multipliaient son plaisir, comme un puissant aphrodisiaque. Mais au fur et à mesure, la souffrance reprit le dessus. Elle continuait de tourner la vis, lentement. Cette vis était munie d’une règle graduée qui indiquait le diamètre atteint, permettant à l’utilisateur de gérer l’écartement 
    Cinq centimètres et demi, dit ...