Marlène (chapitre 11) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 11)

« Stop! Ça suffit! » cria la maîtresse. Débranche les pinces électriques. On va commencer à retirer toutes les pinces, en commençant par celles des seins. Une pince toutes les dix secondes, un sein et puis l’autre. En avant, je te donne le tempo. Top, c’est parti! 
Marlène enleva la première pince, lui arrachant un petit gémissement. Elle avait dépassé le seuil de la souffrance et ne réagissait plus à rien. Chaque pince laissait une marque noirâtre, avec parfois des traces de sang séché ou de petites croûtes. Il lui fallu plus de trois minutes pour les enlever toutes. Quand elle eut terminé, elle massa les deux mamelons entre ses doigts, provoquant de nouveaux hurlements. Elle y prenait plaisir, continuant à les pincer, à les tordre, à tirer dessus dans tous les sens. 

Ça suffit, dit la maîtresse. Les autres pinces maintenant. Les petites lèvres d’abord, un côté et puis l’autre. On terminera par les deux sur le clitoris. Top, c’est parti.

Les petites lèvres n’étaient plus que des lambeaux de peau sanguinolents. Chaque pince que Marlène retirait laissait couler quelques gouttes de sang. Kim ne bougeait plus. Même quand elle retira les deux dernières, elle resta inerte. Avaient-ils été trop loin? Un moment, Marlène eut peur de l’avoir tuée, mais sa respiration saccadée la rassura. Quelques minutes de repos allaient la remettre sur pieds.

Elle n’y eut pas droit. Sa maîtresse s’approcha d’elle. Lui donna deux gifles en pleine figure et lui ordonna de se lever.
Debout! ...

... Tout de suite! Tout de suite! Tu veux une petite séance d’électrochocs pour t’aider? Je n’ai pas de temps à perdre, moi! Plus vite! Plus vite! Tu vas commencer par nettoyer les saloperies que tu as faites sur le sol et sur la table! Tu me fais honte!Tu paieras pour ça!
Kim tenta de se mettre assise sur la table. Tout tournait autour d’elle. Elle perdit l’équilibre et tomba sur le sol, couchée sur le flanc. Elle s’accrocha à la table pour essayer de se mettre debout, tira sur ses bras de toutes ses forces, parvint à se mettre à genoux puis retomba au sol. Sa maîtresse s’approcha avec une cravache. Elle lui donna quelques légers coups sur les fesses et les cuisses. Au deuxième essai, les yeux hagards, elle parvint à se mettre debout, toujours accrochée à la table. 
Ce n’est pas trop tôt, cria la maîtresse. Avance d’un pas! En position! Pieds écartés! Mains sur la tête! Plus vite! Plus vite!
Kim ne bougeait pas, toujours appuyée à la table. Elle se sentait incapable de tenir debout. Tout tournait autour d’elle. Sa maîtresse avança vers elle et la tira vers l’avant par la pointe des seins. Elle hurla et s’effondra sur le sol en se tenant la poitrine.
Bon, rien à faire, tu ne veux pas obéir. On va procéder autrement puisque c’est comme ça. Marlène, aide-moi à la suspendre au portique. 
Elle la prit sous les bras et l’amena au pied du statif. 
Place-toi derrière elle et soulève-la par la taille, le plus haut possible, je vais lui attacher les poignets.
Marlène n’eut pas trop ...