Marlène (chapitre 10)
Datte: 23/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... impulsion, elle avait éjecté le bâillon de sa bouche et hurlait maintenant à pleins poumons. La maîtresse se leva et cria à Marlène, pour couvrir les cris de la fille: « Une minute de plus pour avoir perdu le bâillon, nous irons donc jusqu’à 18 »
Elle hurlait de plus belle. Non! Pitié! Pitié! Je n’en peux plus! Je vous demande pardon! Je serai obéissante! Je…
Elle n’alla pas plus loin, l’impulsion suivante était arrivée. Elle ne pouvait plus que hurler sa douleur.
Silence, petite chienne! On ne t’a pas demandé ton avis. Tu subiras ta punition jusqu’au bout, plus une supplémentaire pour t’apprendre à te taire!
Au fur et à mesure que l’on s’approchait des dix-huit, les cris se faisaient de plus en plus faibles. Ce n’était plus que des gémissements d’agonie. A dix-huit, Marlène coupa l’automatique.
Deux minutes de pause, dit la maîtresse. Elle a besoin de récupérer. Je ne tiens pas à la perdre. Marlène, va me chercher un grand verre d’eau fraîche.
Tiens, se dit Marlène, il y aurait-il quand même un semblant d’humanité chez cette femme? Elle dut vite déchanter. Elle prit le verre d’eau et le lança au visage de Kim, en hurlant: « allez! Réveille-toi! On n’est encore nulle part! On va passer à 25 volts. Tu vas commencer à ...
... regretter ton comportement de ce matin! »
Kim ne réagissait plus. Elle hoquetait, les yeux révulsés, secouée de tremblements et de spasmes. Elle était au bout de la souffrance. Marlène la contemplait, troublée. Cette situation qu’elle n’aurait jamais voulu vivre il y a quatre jours l’excitait au plus haut point. Si elle ne s’était pas retenue, elle se serait caressée devant ce corps meurtri, mais cela lui aurait sans aucun doute valu les foudres de la maîtresse et de Monsieur. Elle se découvrait tortionnaire, bourreau sadique et pervers.
Allez, on règle sur 25 volts et on repart. Six impulsions, ça suffira.
Kim recommença à hurler. À la deuxième impulsion elle perdit tout contrôle et urina sur la table et sur le sol. Cela eut pour effet de conduire le courant dans tous les tissus environnants, augmentant encore sa douleur.
Espèce de petite truie, hurla sa maîtresse. Est-ce ainsi que l’on se comporte chez des hôtes? Tu me nettoieras tout ça avec ta langue après ta punition.
Les décharges s’enchaînaient. De nouveau, les cris de douleur s’étaient transformés en gémissements. Elle était à bout. Après la sixième décharge, une mousse blanchâtre commença à couler sur le côté de sa bouche. Elle avait abandonné toute dignité.