1. Marlène (chapitre 10)


    Datte: 23/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... articula comme elle put: « Oui, Maîtresse. »
    
    À toi de jouer, Marlène. Tu vois où j’ai placé les électrodes? Pourquoi, à ton avis? Parce que le clitoris est la partie la plus sensible, la plus innervée du corps féminin. Le moindre choc électrique sur cet organe rayonne dans tout le bas du corps, provoquant des souffrances terribles. Nous allons commencer par dix volts pendant deux secondes. Nous augmenterons progressivement le voltage et la durée. La punition doit durer au moins quinze minutes. Après, nous mettrons les deux paramètres au maximum et nous continuerons jusqu’à ce qu’elle perde conscience. Ajuste les réglages et attends mon signal.
    Marlène tourna les deux potentiomètres sur les valeurs indiquées. Elle posa le pouce sur le bouton et attendit. Elle jeta un coup d’œil sur le visage de sa victime. Elle voyait la terreur dans ses yeux. Elle était sûre qu’elle avait déjà vécu cela de nombreuses fois et qu’elle savait exactement ce qui l’attendait. Elle en eut presque pitié. Pourtant, elle était prête à la torturer jusqu’à l’évanouissement, pour satisfaire la maîtresse et son maître, et pour éviter de se retrouver dans sa position. Elle sentait aussi son penchant dominant ressortir et commençait à percevoir le côté excitant de cette situation. Elle décida donc d’y aller dans hésitation et sans remords. Elle ne savait pas encore à quel point elle y prendrai plaisir.
    Règle le troisième potentiomètre sur dix secondes, lui dit la maîtresse. C’est l’intervalle entre ...
    ... les décharges. Tu bascules ensuite le commutateur rouge sur « Auto ». Tu n’auras plus qu’à t’occuper du voltage et de la durée.
    Au moment où elle bascula l’interrupteur, un grand cri étouffé emplit le salon. Kim ruait dans ses liens, secouée de spasmes. Elle n’eut même pas le temps de s’arrêter de crier que la décharge suivant arrivait, la secouant de tout son être.
    Nous allons continuer ainsi deux minutes, dit la maîtresse, c’est-à-dire douze impulsions. Compte-les à voix haute. Après, nos passerons à quinze volts et quatre secondes pour deux minutes supplémentaires.
    Marlène comptait posément. Elle avait posé le boîtier et s’était approchée du visage de Kim. Elle pouvait lire l’horreur dans ses yeux. Elle lui sourit méchamment. Elle allait lui en faire baver. Son maître serai fier d’elle.
    Après la douzième décharge, la maîtresse demanda à Marlène de couper l’automatique. Une minute de pause, dit-elle. Il s’agit de faire durer ça un bon bout de temps. Il ne faut pas qu’elle s’évanouisse trop vite. 
    La fille tentait en vain de reprendre sa respiration. Elle était complètement paniquée. Elle se débattait sans pouvoir bouger d’un poil.
    La maîtresse tenait un chronomètre en main et ne le quittait pas des yeux.
    Marlène, dit-elle, règle sur quinze volts et quatre secondes. A mon signal, tu remettras le mode automatique. Une vingtaine de secondes s’écoulèrent encore puis l’ordre fusa.
    En avant, dit-elle d’un ton sec.
    Kim se raidit dans ses liens. Avant la fin de la première ...