Marlène (chapitre 10) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 10)

... reprendre ses esprits. Elle attendait le verdict.

C’est bien, ma belle. C’est vrai que pour un troisième jour de soumission, tu es très obéissante. Détache-toi et lève-toi. Nous allons passer à la suite. Tu vas me montrer tes dispositions en tant que dominante. Ton maître m’a dit que tu avais déjà démontré un certain talent en la matière. Raconte-moi.
Marlène puis une grande inspiration et commença à lui raconter l’épisode avec Marie-Agnès, depuis le lavage des pieds avec sa langue, la destruction et la pointe de ses seins, avec sa volonté de la faire souffrir au maximum, jusqu’à la séance du fouet, où elle avait appris les bases de cette technique. 
As-tu pris du plaisir à faire cela? lui demanda la maîtresse. 
Oui, Maîtresse, répondit Marlène en rougissant.
Pourquoi? reprit la maîtresse.
Au départ, répondit Marlène, je voulais me venger de la souffrance et de l’humiliation qu’elle m’avait infligée un peu avant, mais peu à peu, j’ai compris que j’aimais faire souffrir et dominer. Depuis ce jour, j’attends d’avoir à nouveau l’opportunité de me trouver dans cette position.
Et bien, tu vas être exaucée aujourd’hui. Tu vas punir Kim, ma soumise. Elle a été très vilaine aujourd’hui. Il faudra suivre toutes mes instructions à la lettre. Si je ne suis pas satisfaite de toi, tu prendras sa place et elle prendras la tienne. Tu sais, elle aussi est très douée et connaît beaucoup de techniques pour les avoir subies elle-même. N’aie aucune pitié, elle n’en mérite aucune et ...

... elle n’en aura aucune avec toi. Essuie-toi et recoiffe-toi. Je vais la chercher.
Elle quitta la pièce et Marlène entendit le bruit de la porte d’entrée. Quelques instants plus tard, elle réapparut, tirant derrière elle à l’aide d’une laisse de cuir noir, une jeune fille marchant à quatre pattes en portant avec sa bouche une lourde mallette de cuir, un peu comme une mallette de médecin. Elle était pâle et très maigre, presque squelettique. Son corps était couverts de marques de pinces, de coups de fouet. Elle portait des pinces sur les mamelons, une dizaine par sein, couvrant l’intégralité de l’aréole. Elle semblait épuisée. 
Demi-tour à droite! lui hurla la maîtresse.
Elle se tourna les fesses vers Marlène, dévoilant un sexe lui aussi couvert de pinces, sur les petites lèvres, sur le clitoris. Elle en avait aussi plusieurs sur le bord de l’anus. Elle devait souffrir le martyre mais ce qui choqua Marlène, c’était le sourire qu’elle affichait. Malgré la douleur, elle regardait sa maîtresse avec amour et reconnaissance.
Alors, espèce de chienne, lui dit celle-ci, satisfaite de ta journée? Tu es fière de toi?
Non, Maîtresse, j’ai été très méchante et très désobéissante aujourd’hui. 
Mérite-tu une punition ?
Oui, Maîtresse, faites de moi ce qu’il vous plaira.

Je vais te livrer à Marlène. Elle va t’administrer cette punition sous mes ordres. Pour commencer, elle va t’enlever les pinces. Lève-toi et installe-toi sur la table. Marlène va t’attacher. Elle obéit instantanément. ...