Besoin de plus pour...
Datte: 27/08/2023,
Catégories:
fhh,
hplusag,
cocus,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
baillon,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Sésame, Source: Revebebe
... moins avant qu’il rejette la faute sur elle, de défendre son amant. Son amant… Mon mari… Un mari qui vient de perdre son travail…
Et moi, suis-je donc si vénale que, plus que l’infidélité de Romain, c’est le chômage qui m’inquiète ? Le patron a été on ne peut plus clair. Il va s’arranger pour que l’amant de sa femme soit marqué au fer rouge et que personne ne veuille l’embaucher malgré ses compétences reconnues. Cela promet des moments difficiles.
Merde en plus d’être cocue, je vais être obligée de réduire mon train de vie. Et moi je n’ai rien fait… À moins que…
— Monsieur ? dis-je.
— Oui. Chère Madame, je suis désolé de vous imposer ce spectacle. Mais comme je vous disais, vous deviez savoir.
— Oui, j’ai bien compris. Mais je me demande si votre décision est la bonne.
— Ah ! Expliquez-moi donc pourquoi je ne pourrais pas me venger…
Le ton est sec. Manifestement il n’est pas homme à se laisse contredire par une quasi-inconnue.
— Vous venger, oui. Mais à mon détriment. Je me retrouve cocue et avec un mari promis aux gémonies. Pour moi, c’est la double peine. Et ma vengeance ? La mienne, oui ? Vous allez dire que je peux toujours divorcer. Et votre femme ? Vous semblez lui pardonner à elle.
— Ce qui se passe entre Marie et moi ne vous regarde pas.
Le ton est à nouveau sec ! Mais il se radoucit :
— Mais je reconnais que vous avez partiellement raison.
— Vous voyez. En licenciant Romain, vous vous privez de ses compétences que vous reconnaissez ...
... vous-même. Moi, je peux vous proposer une autre façon de vous venger. Une façon qui me vengerait aussi. Rendre la monnaie de la pièce…
Un silence. L’homme est le premier à comprendre :
— Vous voulez dire vous et moi ?
Romain réalise ma proposition.
— Armelle, tu es folle. Tu n’y penses pas vraiment.
— Oh, cela devient intéressant, complète Marie. La Marie-couche-toi-là, si j’ai bien compris tous les sous-entendus, aussi bien de son amant alors qu’il la baisait, que son mari qui ne semble pas être des plus jaloux.
À nouveau un silence. Un long silence où chacun examine les autres, cherchant à lire ses pensées. Et puis :
— Je suis d’accord. Vous avez conscience de ce que vous faites ? De ce que cela implique ?
— Oui.
Je réponds oui pour ne pas paraître ridicule, car ma proposition a été si soudaine que j’en prends seulement la portée. Je viens ni plus ni moins de proposer au patron de mon mari de coucher avec lui, comme vengeance, mais aussi pour conserver à Romain sa place dans l’entreprise.
— Sortez. Laissez-nous.
L’ordre s’adresse aux amants.
— Non. Je reste. Pas question que… se défend mon mari.
— Tu préfères être licencié, mis à la porte dans ces conditions… réponds-je, justifiant ainsi le prix à payer pour son infidélité.
— Allez, viens.
Marie prend son amant par le bras et cherche à l’entraîner. Elle continue :
— Ne t’inquiète pas, il ne va rien se passer. Elle ne risque rien. Ton honneur (son rire sonne faux) sera intact. Je te ...