Besoin de plus pour... - Histoires de Sexe

Besoin de plus pour...

Mon Dieu. Comment est-ce possible ? Il m’a pénétrée lentement, sans effort, et ce mandrin que j’ai sucé s’est glissé en moi, dans mon plus intime, écartant mes chairs avec une facilité que j’aurais cru impensable.

Oui, je l’avais longuement sucé, léché, pompé, gobant cette queue proposée d’autant plus que la main qui me guidait appuyait sur ma tête avec une insistance qu’en d’autres circonstances j’aurais jugée déplacée. Mais j’étais ici de ma propre volonté, en toute connaissance de cause, bien que je n’aie pas vraiment conscience de ce que j’avais accepté… Pire, que j’avais presque sollicité.

Je l’avais sucé, mais aussi ma chatte était littéralement liquéfiée, autant par le jeu à la fois divin et cruel des vibrations des boules de geisha, que des caresses de l’homme qui, lui aussi, m’avait longuement caressée. La combinaison de ses caresses, de la fellation et des vibrations artificielles avait déclenché un orgasme qui d’une certaine façon m’avait libérée de la tension accumulée par cette situation exceptionnelle, du moins pour moi.

Situation en effet si particulière. Si on m’avait dit il y a seulement six mois que moi, Armelle, épouse aimante, d’une fidélité quasiment totale, j’allais me retrouver ainsi…

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— Encore cette année ? Tu m’avais promis que je ne serais plus obligée !
— Je sais et je m’en excuse, mais je t’ai parlé de ce poste de directeur qui va se libérer. Un poste qui va devenir naturellement directeur général au départ du ...

... patron.
— Ton patron va partir ? Mais c’est sa boîte ! Il est si vieux ?
— Non, pas encore soixante.
— Il ne les fait pas.
— Tout le monde le dit et ajoute que c’est probablement sa jeune femme qui le stimule.
— Je me souviens d’elle. Elle doit bien avoir vingt ans de moins.
— Oui, et suivant la rumeur, elle n’a pas froid aux yeux. Aux yeux et probablement ailleurs.
— C’est son problème, pas le tien.
— Tu as raison.
— Et c’est officiel qu’il va partir ?
— Pas du tout et surtout n’en parle à personne. J’ai mes sources.
— Ah ces mystères ! Au moins chez nous, dans l’éducation nationale, on n’a pas ces soucis. Les promotions se font à l’ancienneté et…
— Il doit bien y avoir des promotions canapés et des mystères comme partout.
— J’en sais rien et je m’en fous du moment qu’on me laisse bosser tranquille ! Moi, ce que je vois c’est que je vais encore devoir me coltiner cette réunion annuelle, avec tous tes collègues, leurs épouses et tout le reste.
— J’en suis désolé, mais si tu n’es pas présente le patron va penser que j’ai un problème dans mon couple et que cela me rendrait moins performant au boulot. Il faudrait même que tu sois particulièrement aimable avec lui.
— En plus, il faut que je couche avec lui !
— Bien sûr que non. Allons, chérie, juste aimable.
— Je plaisantais.

Un silence. Il faut dire que nous sommes au lit et que nous lisions lorsque Romain a parlé de cette réunion.

— Je plaisantais, mais en réalité il n’est pas si mal. À soixante balais, il est ...