1. Besoin de plus pour...


    Datte: 27/08/2023, Catégories: fhh, hplusag, cocus, Collègues / Travail fsoumise, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, baillon, yeuxbandés, confession, vengeance, Auteur: Sésame, Source: Revebebe

    ... chaise j’avais l’impression qu’il entrait encore plus. Mais jamais les deux.
    
    Mais je me dis que si je commence à « discuter », on ne va pas aller bien loin.
    
    Monter est facile.
    
    C’est la première fois que je me mets les jouets moi-même. D’habitude c’est mon mari qui se charge de cela après de longues minutes de « mise en train ».
    
    Descendre est une épreuve. Je sais que ni l’un ni l’autre ne risque de tomber, mais j’ai l’impression que tout le monde me regarde. Chaque marche apporte une sensation étrange.
    
    Je m’assois prudemment en face de l’homme. Il me sourit.
    
    — Tout va bien ? Pas de problème ?
    — Non.
    — Une petite vérification…
    
    La petite télécommande est restée sur la table. Il est vrai qu’elle paraît anodine, surface lisse, couleur crème avec juste deux petites excroissances.
    
    Je gronde. La première fois, on a toujours l’impression que tout le monde entend ou détecte la vibration. Mais non, tout se passe en interne. Bien que je m’y attende, je sursaute. Georges sourit.
    
    — Ça marche. Parfait. Toujours décidée ?
    
    Je hoche de la tête.
    
    Pendant le trajet nous restons silencieux. Si je n’étais prise de la chatte et du cul, je pourrais penser à une promenade bien classique.
    
    Devant sa maison, il fait un appel de phare à une voiture garée juste devant. Un homme en sort. Il est grand, chemisette et jean. C’est lui. C’est Abdou. La photo ne montrait que sa tête et une partie du torse.
    
    La porte du garage s’ouvre. La voiture s’y engage suivie par ...
    ... l’homme. C’est un parking en sous-sol. Une autre voiture est déjà là.
    
    — C’est celle de Marie. Elle est chez une amie pour la nuit.
    
    Cela ne demande pas de réponse. Par contre il continue :
    
    — À partir de maintenant, c’est Abdou qui va te prendre en charge. Toujours d’accord ?
    — Oui.
    — C’est bien. Mais si tu as le moindre doute, il faut me le dire maintenant. Après tu pourras toujours demander d’arrêter, mais pas de modifier quoi que ce soit. C’est à prendre ou à laisser. Si tu ne peux pas parler pour une raison quelconque, fais un geste. Tu comprends bien ?
    
    Le tutoiement marque le changement de statut et l’insistance avec laquelle il me le signifie montre que cela peut être fort, aussi fort que ce que j’ai vu dans la vidéo.
    
    — Oui, j’ai bien compris. Je suis prête.
    
    Il sort de la voiture. Ma portière s’ouvre. Un bras sombre se tend vers moi pour m’aider à sortir. Nous sommes côte à côte. Il me dépasse d’une tête.
    
    — Alors c’est toi ? Marche un peu pour voir.
    
    Je me fais l’effet d’une esclave que l’on expose, mais j’obéis. Il me suit.
    
    — Pas mal. Beau petit lot ! De la poitrine, un beau petit cul, port de reine… Tu t’appelles Armelle, c’est ça ?
    — Oui.
    — Et moi, tu sais comment je m’appelle ?
    — Abdou.
    — Tout faux et c’est l’unique fois que je te le dis. Appelle-moi « Maître ». Tout manquement entraînera une punition. Compris ?
    — Oui.
    — Oui, qui ?
    — Euh, Maître.
    — Bien. Tourne-toi maintenant.
    
    Je fais face à Georges qui est devenu un spectateur ...
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