Besoin de plus pour...
Datte: 27/08/2023,
Catégories:
fhh,
hplusag,
cocus,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
baillon,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Sésame, Source: Revebebe
... Je comprends sa délicatesse. Rien ne m’oblige à le rejoindre. Fidèle à son honnêteté, il enlève de notre rendez-vous tout risque de pollution par un chantage qu’il n’a en réalité jamais vraiment exercé.
Par ce geste Georges me signifie que je suis tout à fait libre.
Oui, je suis libre.
Oui, je vais tenir ma promesse.
Oui, j’ai envie de connaître autre chose, de me dépasser, de sortir des sentiers battus.
Oui, enfin, si mon mari pense que j’ai couché avec son patron, au moins que si un jour il m’en fait le reproche, oubliant la vraie cause, sa trahison, oui, au moins que j’en aie une fois profité.
— Ce sont deux analyses. La mienne et celle de mon ami, Abdou.
— Merci.
Il était prévu que nous allions chez lui, mais il avait demandé à me rencontrer dans un bar. Il me laissait manifestement le temps de réfléchir. Les deux analyses parlaient d’elles-mêmes.
— Tenez, voici Abdou.
Il me montre son smartphone.
— Mais ! dis-je, étonnée de ne pas reconnaître celui qui était avec Marie.
— Cela vous pose un problème ? Sa couleur de peau ?
— Non, non, pas du tout. C’est juste que ce n’est pas le même que…
— Abdou n’est pas toujours disponible. Je le connais depuis longtemps. Vous verrez, il est parfait. En plus, sa couleur fait partie de mes fantasmes.
— Ah !
— Je sais ce que vous imaginez… Le fantasme du mari qui aime voir sa femme avec un noir…
— Euh !
— Eh bien vous auriez raison. Abdou en plus de ses qualités, que vous aurez l’occasion de mesurer, ...
... contribue à me réveiller. C’est un ami maintenant et il me connaît bien. Il sait « diriger »… Alors toujours partante ?
C’est dans un souffle que je dis « oui ».
— J’ai un cadeau, en réalité, deux cadeaux pour bien commencer la soirée.
Il sort deux écrins de velours, les pousse vers moi. Je vais les ouvrir, mais il me retient la main.
— Attendez, je vais vous montrer. Restons discrets.
Je ne comprends sa remarque que lorsqu’il soulève doucement les couvercles.
Dans le premier, je découvre une boule rose avec un fil qui s’en détache. Je ne percute vraiment que lorsqu’elle se met à vibrer. Georges tient manifestement ce qui est une télécommande dans la main. Une boule de geisha vibrante.
Dans le second, une masse brillante toute de métal poli, dont la forme est si caractéristique que toute femme qui accepte la sodomie reconnaît. Un plug.
Je croise le regard de l’homme alors qu’il referme les deux écrins. Ses yeux brillent. Je pense qu’il va parler, mais non. Il attend. C’est moi qui lui pose la question dont je connais la réponse.
— Je dois les mettre ?
— Oui.
— Les deux ?
— Oui.
— Maintenant ?
— Oui. Les toilettes femmes sont à l’étage.
Je vais dire que je n’ai jamais porté les deux en même temps. Avec Romain, on a eu une période « sex-toys » où il me faisait porter des boules de geisha et s’amusait à les déclencher dans la rue, au restaurant. Un plug aussi, une fois à un dîner chez des amis où à chaque mouvement dans mon fauteuil ou sur ma ...