1. Besoin de plus pour...


    Datte: 27/08/2023, Catégories: fhh, hplusag, cocus, Collègues / Travail fsoumise, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, baillon, yeuxbandés, confession, vengeance, Auteur: Sésame, Source: Revebebe

    ... présence d’un autre homme que vous… Une mise en scène…
    — Je n’ai peut-être pas assez insisté sur la partie domination. Cela demande de la confiance, un abandon de soi… Accepter un peu de douleur, d’humiliation.
    — Ah, et vous pensez que je ne pourrais pas ? Je ne suis pas si innocente que vous le pensez.
    — Je le souhaite de tout mon cœur. Mais je ne veux pas prendre le risque de perdre une amie… par des demandes qu’elle ne comprendrait pas. Si vous voulez, pour décider en toute connaissance de cause, je peux vous donner accès à un mini-film.
    — Comme vous voulez.
    
    Quelques secondes et mon smartphone me signale un message.
    
    — Vous l’avez. Vous pouvez le regarder, mais discrètement et surtout surveillez le son.
    — Je vais dans le salon. Je vous envoie un SMS lorsque j’ai terminé.
    
    Il avait raison, je ne m’attendais pas à cela. La femme, c’est Marie avec un autre homme, tout au moins au début. On voit bien qu’au bout d’un moment, le mari vient les rejoindre, mais le film s’arrête à ce moment-là. Mais c’est bien suffisant pour se faire une idée. C’est fort, puissant, presque dérangeant, mais il avait aussi raison de me conseiller de surveiller le son. Heureusement j’avais mis mes oreillettes. Les cris de Marie ne sont que des cris de plaisir. On dirait que chaque action déclenche en elle une jouissance. À un moment, on voit son visage en gros plan qui chavire pendant qu’on entend l’homme la posséder alors qu’elle est prisonnière de liens et dans une position très ...
    ... inconfortable.
    
    Lorsqu’il est arrivé après mon SMS, j’ai confirmé mon accord. Moi aussi je voulais au moins une fois vivre cette relation si particulière.
    
    Le plus heureux des hommes ! Il s’est penché vers moi et ses lèvres ont effleuré les miennes, comme une signature, un accord.
    
    Après un échange de messages avec quelqu’un, il m’a proposé la nuit du samedi en huit.
    
    — Mon ami et complice est libre ce jour-là.
    
    Déjà j’imaginais l’homme. Était-ce le même que dans la vidéo ?
    
    — Une nuit, c’est mieux pour être bien à l’aise. Vous pourrez vous libérer ?
    
    J’ai dit oui. Quelques jours avant, j’ai prévenu mon mari que je ne serais pas à la maison la nuit du samedi à dimanche. C’était la première fois que je m’absentais une nuit. Une absence dont la raison était une évidence. Pour lui, elle s’ajoutait aux autres rencontres. Pour moi, c’était vraiment une première. Mais la veille, Romain revient tout guilleret de son travail :
    
    — Je suis nommé directeur adjoint. C’est officiel. Il a parlé de son départ. Tout est dans les tuyaux.
    
    Georges ne m’avait parlé de rien.
    
    — C’est bien.
    — C’est grâce à toi. Je sais tout ce que je te dois. Mais tu n’as plus besoin de le voir. Il ne pourra pas revenir en arrière. Ce serait se déjuger. Tu n’es plus obligée de rencontrer ce salaud.
    
    Ce salaud, mon cher mari, a la suprême élégance de te donner cette promotion sans que je n’aie fait quoi que ce soit de coupable. Il aurait pu attendre après ce samedi, nuit où je vais me donner à lui. ...
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