1. La proviseure du lycée Saint-Vincent


    Datte: 26/08/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Philus, Source: Hds

    ... interpela une jeune femme de sa voix rauque, un papier à la main.
    
    — Natacha Ivanov, vous êtes convoquée chez la proviseure à dix heures.
    
    — Moi, mais pourquoi ? s’inquiéta immédiatement Natacha.
    
    — Personnellement, je n’en sais rien, répondit le professeur. J’ai juste trouvé ce mot dans mon casier ce matin et je vous transmets l’information, c’est tout.
    
    — Bon, assez perdu de temps maintenant, poursuivit-il, nous devons terminer notre révision sur la Seconde Guerre mondiale, reprit-il en haussant le ton.
    
    Les élèves s’assirent y compris Natacha restée pensive et troublée. C’était une belle adolescente blonde typée de l’Est. Elle n’était pas parmi les meilleurs de sa classe, mais dominait malgré tout la moyenne. Alors, pourquoi ? Sans doute un problème administratif se rassura-t-elle après un moment de réflexion. Persuadée de la pertinence de cette déduction, elle renoua finalement son attention avec le fil de la leçon.
    
    Pendant l’heure de mathématiques qui suivit immédiatement celle d’histoire, elle se rappela que le lundi de dix heures à onze heures, la T1 n’avait pas cours avant d’enchaîner sur une heure de philosophie qui achevait la matinée. L’heure choisie par la proviseure était-elle en rapport avec son emploi du temps ? L’entretien allait-il durer longtemps ? Un problème administratif devrait être vite réglé normalement… Elle s’inquiéta à nouveau et son estomac resta serré jusqu’à la fin du cours. Sonnerie stridente. De plus en plus angoissée, Natacha ...
    ... sortit la première de la classe et arpenta le long couloir nerveusement pour parvenir au bureau de la proviseure. Le cœur battant, immobile devant la porte, l’élève n’avait d’yeux que pour une plaque de cuivre indiquant « Madame France Rolzen ». Sur la ligne en dessous, au mot « Proviseur », une main inconnue avait rajouté maladroitement un « e » en gravant la lettre avec un objet pointu, sans doute un compas. Un sourire amusé éclaira le visage de Natacha qui, un peu encouragée, frappa trois coups de son index replié. « Entrez ! » fit une voix juste assez forte pour qu’on l’entendît depuis le couloir. Natacha s’exécuta, ouvrit la porte et ne s’engagea que d’un pas dans le bureau.
    
    — Approchez ! Approchez ! Et fermez la porte, intima madame Rolzen d’un ton neutre.
    
    La jeune femme s’avança légèrement.
    
    — Asseyez-vous, j’ai à vous parler.
    
    Natacha regarda autour d’elle cherchant une chaise, mais n’aperçut qu’un fauteuil profond et s’y laissa choir. Elle voyait la proviseure de bas en haut et cela la mettait mal à l’aise. Bien sûr, c’était à dessein. Les fesses plus basses que les genoux, elle tira maladroitement et sans succès sur sa jupe plissée trop courte.
    
    Le visage de madame Rolzen devint plus sévère.
    
    — C’est de ça que je veux vous parler.
    
    — Ça ?... Quoi ? répondit Natacha, décontenancée.
    
    — Votre tenue vestimentaire.
    
    — Ma… tenue… ?
    
    — Oui mademoiselle Ivanov, votre tenue vestimentaire. Cela fait un mois que je vous observe et je n’ai noté sur vous que ...
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