1. La proviseure du lycée Saint-Vincent


    Datte: 26/08/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Philus, Source: Hds

    ... que… quoi ?
    
    Sans répondre, la femme entraîna l’élève par le bras vers une porte au fond du bureau. Elle l’ouvrit, alluma quelques lumières discrètes, fit pénétrer la jeune fille et referma à clé derrière elle.
    
    L’incompréhension avait succédé à l’espoir ; au milieu de la pièce, un grand lit semblait attendre.
    
    La voix de madame Rolzen devint soudain douce et mielleuse. Optant pour le tutoiement, elle désigna le lit.
    
    — Je ne te fais pas de dessin. Nous avons trois quarts d’heure devant nous avant ton prochain cours. Tu peux partir maintenant et j’envoie ton dossier, ou bien rester, on se fait quelques câlins et j’oublie tout.
    
    Un sentiment de dégoût suivi d’une sorte de soulagement malsain envahit Natacha puis avec résignation, comme un automate, elle fit tomber sa minijupe sur ses pieds. Elle ne pleurait plus, mais serrait les dents.
    
    La proviseure s’approcha de la jeune femme et commença à lui déboutonner son chemisier.
    
    — Tu as choisi la bonne solution, ma petite, murmura-t-elle.
    
    Natacha n’avait pas mis de soutien-gorge ce jour-là. Libérés, ses seins se redressèrent et les tétons pointaient, raidis par le froid relatif de la pièce ou bien autre chose sans qu’elle se l’avouât. Elle se laissa caresser la poitrine en fermant les yeux, une douce volupté l’envahit malgré elle. Le souffle parfumé à la tisane de mélisse de madame Rolzen s’approcha de ses lèvres qu’elle entrouvrit. La langue de la proviseure s’insinua et ce fut un long baiser langoureux qui ...
    ... s’ensuivit. Natacha ne haïssait plus cette femme qui lui voulait tant de mal quelques instants auparavant. Elle devina qu’elle lui plaisait et qu’elle était capable de tout pour parvenir à ses fins. En définitive, elle en était flattée et elle le fit comprendre en mêlant sa langue avec ardeur à celle de son amante. Cette dernière poussa doucement Natacha sur le lit et elle s’y allongea à plat dos. Quittant la bouche de Natacha, madame Rolzen caressa de ses lèvres, le cou, les seins, le ventre de la jeune femme pour s’arrêter sur le mont de Vénus. Elle remarqua sur la culotte à l’endroit de la vulve, une tache mouillée qui allait grandissant. Elle sourit.
    
    — Tu vois, chacune de nous y trouve son compte finalement, fit-elle en faisant glisser le sous-vêtement le long des jambes toujours gainées de bas, de Natacha.
    
    Puis avidement, la langue sortie et raidie comme un pénis, la proviseure pénétra le sexe suintant de son élève. De rares poils blonds lui chatouillaient les ailes du nez, mais dès que le contact eut lieu, Natacha poussa un soupir de volupté peu commun. Elle n’avait jamais mouillé autant pendant qu’elle faisait l’amour, que ce fût avec un homme ou une femme. Celle-ci allait l’emmener au septième ciel rapidement, car elle devinait déjà les prémices de l’orgasme. France Rolzen lapait, buvait, déglutissait, se barbouillait le visage avec la cyprine un peu huileuse et chaude de sa maîtresse. Soudain, Natacha se raidit, enserra la tête de la proviseure à deux mains, lui ...
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