Un mal pour un bien
Datte: 25/08/2023,
Catégories:
fh,
ffh,
2couples,
fbi,
hbi,
voisins,
hépilé,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
libercoup,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... masculine sans doute, peur de voir sa femme respective prendre plaisir à branler un autre homme, ou simplement interrogation des yeux pour savoir si chacun pouvait, sans vexer l’autre, apprécier cette attention dignement.
— Alors, demanda ma femme, brisant un silence pesant ?
— C’est doux. T’avais raison. Et toi ?
— Poilu, mais doux aussi. Le gland semble très réceptif.
— À mort. Tourne sur le bout il adore ça…
— Vache, oui ! Le mien, il aime sentir les ongles.
À quoi jouaient-elles ? À la première qui ferait jouir le mari de l’autre ?
En ce qui me concernait, c’était bien engagé. Malgré la lenteur avec laquelle glissait ses doigts sur ma peau tendue, et les délicats cercles de son ongle sur mon gland, à ce rythme, je n’allais pas tarder à faire perdre ma femme, si défi elles s’étaient lancées. Heureusement, pour Pierre et moi, elles cessèrent de concert, et se levèrent.
Au bruit du percolateur, je savais, enfin, je me doutais de la suite. Trois cafés au plus, ma femme n’en buvant pas, mais à la tête qui fit Pierre, je compris que quelque chose se tramait dans mon dos. Pivotant ma chaise, ce que je vis manqua de m’en faire tomber. Ma femme, celle que je croyais connaître, embrassait goulûment Maria, chacune ayant une main sous la jupe de l’autre.
Si jusque-là le domaine du possible existait encore dans un recoin de mon cerveau, le vrai en manque de sang, pas la tige gorgée et chaude, je crus halluciner. Qu’elle branle un type devant moi, OK, elle l’avait ...
... déjà fait, et plus même, mais toucher un sexe féminin ! C’était irréel, impensable, pas elle. Je ne le savais que trop pour lui avoir soumis l’idée à de nombreuses reprises, toutes récoltant la même réponse : « jamais de la vie ». Donc deux options : soit j’avais trop bu, et plus que voir double je fantasmais, soit j’étais mort en tombant de l’échelle, et j’étais au paradis.
Deux cafés tirés, elles reprirent place à table, comme si de rien n’était. Enfin, presque, car leurs mains reprirent ce qu’elles avaient abandonné il y avait peu : deux cerveaux, pardon, deux sexes toujours tendus, sinon plus. Pierre se réfugia dans sa tasse, et avala d’un trait son expresso. J’aurais bien fait de même, mais, pas de bras disponible chez moi, et celui de Maria était déjà en affaires, alors je portai mon regard sur l’affaire justement. Telle une pianiste, elle jouait, de ses cinq doigts, une douce mélodie sur mon tuba.
Agréable à voir tout autant que sentir. Un bruit de chaises me fit relever la tête. Ma femme, le guidant par la main, mena Pierre jusqu’à moi, tandis que Maria tournait ma chaise. Face à lui, je me sentis descendre. Chaise haute baissée au maximum, j’avais, à dix centimètres des yeux, une vue imprenable sur un sexe lentement branlé par ma femme, le mien étant toujours utilisé tel un clavier. Elles nous laissèrent dans l’embarras, fort appréciable et apprécié par elles seules, dans un silence pesant.
— Vous êtes pareils tous les deux.
— Hein ? Pourquoi tu dis ça, ...