1. Un mal pour un bien


    Datte: 25/08/2023, Catégories: fh, ffh, 2couples, fbi, hbi, voisins, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, fsodo, confession, libercoup, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... à deux balles, et démonstrations qu’un homme qui bande n’a plus assez de sang pour irriguer correctement son cerveau. Pour sûr, je bandais. Depuis plus d’une heure, je bandais. Mais c’est humain, merde ! Comment ne pas quand deux paires de seins vous narguent ainsi ? Parce qu’elles ne se privaient pas, en paroles et en poses, de bien les mettre en valeur leurs quatre atouts. Ça pointait autant, sinon plus, que nos deux malheureux glands coincés dans leurs frocs ! On avait déjà, Pierre et moi, une dizaine de verres de vin chaud, et trois de rosé dans le cornet, et nos femmes ne semblaient pas vouloir nous empêcher d’étancher notre soif en alcool, à défaut de nous donner la moindre explication. Pire, c’est Maria qui alla chercher une autre bouteille de blanc, pour accompagner le dessert, précisa-t-elle. Qu’elle aille se servir dans mon frigo m’aurait interloqué, en temps normal, mais plus rien n’était normal; surtout après qu’elle m’ait nourri, devant ma femme, souriante, et Pierre, son mari, aussi médusé que moi.
    
    Pour dessert, ma femme d’amour avait choisi une forêt noire. Mon gâteau préféré. Fut-ce l’alcool, ou le plaisir qu’elle ait pensé à moi ainsi, je savourai la première part en gloussant de plaisir, et la seconde en oubliant qui tenait la petite cuillère. Je me foutais que ce soit Maria qui me nourrissait. Mieux, je la remerciai de le faire, car ainsi, je pouvais à loisir plonger mes yeux dans ceux de ma femme. OK, plus bas surtout. Elle rayonnait de joie, et moi de ...
    ... bonheur.
    
    On ne faisait que se regarder, et pourtant j’avais l’impression de la toucher, et qu’elle me touchait en retour. Impression qui devint réalité sitôt la dernière bouchée avalée : une main se posa sur ma cuisse. Nul besoin d’être devin pour savoir que ce n’était pas la sienne. Surpris, j’eus un léger sursaut. J’allais ouvrir la bouche lorsque je vis celle de ma femme glisser sous la table. À la surprise qu’afficha Pierre, j’en déduisis, et le lieu, et l’attention, de cette disparition. S’étaient-elles concertées en faisant les boutiques, avaient-elles élaboré un plan, que la caresse, agréable certes, de la main de Maria sur mon sexe, me confirma que mon épouse faisait de même, vu la tronche qu’affichait le voisin.
    
    — C’est comment chez toi, lui demanda Maria ?
    — Bien dur. Et toi chez moi ?
    — Pareil.
    
    Je ne pouvais pas bouger, mais j’avoue que, même en pleine capacité de mes moyens, je n’aurais rien fait. Après tout, depuis plus d’une heure elles nous excitaient, nous rabâchaient que les hommes ne réfléchissent qu’avec leurs queues, alors, à quoi bon nier l’évidence puisqu’elles les avaient en mains, nos cerveaux ! Après les dix du mari, ce furent donc les cinq de la main gauche de sa femme qui me déboutonnèrent, avant de glisser sous le boxer. Comme deux gosses on se laissa branler sous la table, sans mot dire. Instant étrange que de savoir son épouse avoir en main le sexe de celui qui te regarde, parce que ni lui ni moi n’osions nous quitter des yeux. Lâcheté ...
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