1. Un mal pour un bien


    Datte: 25/08/2023, Catégories: fh, ffh, 2couples, fbi, hbi, voisins, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, fsodo, confession, libercoup, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... chérie ?
    — Pierre, il est comme toi. Il aime voir sa femme avec un autre homme. Et…
    
    Le tirant en avant par la queue, plus que le dire en mot, elle me colla son gland contre les lèvres. Sans réfléchir, instinctivement, ma bouche s’ouvrit. Sans hésiter, sans y être contraint, il avança, recula, un peu gauche lors des premiers mouvements, puis de plus en plus assuré, profondément.
    
    — Tu vois Maria, je te l’avais dit. Il fallait juste bien amener la chose.
    
    Si la chose dont parlait ma femme était la bite qui allait venait entre mes lèvres, pas de doute, elle l’avait bien conduite à destination. Alors, que pouvais-je faire d’autre que l’accueillir dignement, incapable de fuir ? OK, même valide je n’aurais pas pris les jambes à mon cou. C’était la première fois que je suçais une bite. Une de chair j’entends. De latex j’en avais déjà léchées et pompées. Elle m’avait fait la surprise, il y avait maintenant quatre ans – le soir de la Saint-Valentin s’il vous plaît ! –, de m’offrir ce cadeau particulier. Mais un gode-ceinture, c’est un gadget, un ustensile, froid, alors qu’une bite, c’est chaud, ça réagit. Et le goût… rien à voir !
    
    Si Pierre imprimait le mouvement, je mis toute mon expérience à la sucer autrement vivante cette queue. J’adore le clito de ma femme, mais, pardon, mon amour, j’aime presque tout autant tailler une pipe. Je ne t’apprends rien. Tu le savais avant moi. Alors oui, je l’ai mené au plaisir, et oui je l’ai avalé. Sensation différente, mais tout aussi ...
    ... bandante. Et si j’avais eu un usage normal de mes mains, oui je les aurais flattées ces deux couilles qui me faisaient envie, qui me narguaient, qui me défiaient. Mais le plus étonnant n’était pas que je suce, mais que ma femme, hétéro jusqu’au bout des ongles, fasse minette.
    
    Même Pierre était comme moi : éberlué. On était comme deux chiens au milieu d’un jeu de quilles. Voir nos femmes, que lui comme moi, pensions mâles… on était, comme dit, pareil ! Si par défi, ou jeu, elles avaient enclenché cette soirée, le déroulement, si charmant à nos yeux, semblait bien loin de ce que l’on imaginait. Elles se bouffaient. Pas d’autre mot. Tantôt Maria, tantôt ma femme, dessus dessous, se léchaient, se doigtaient, comme si leurs vies en dépendaient. On était complices, et dans la même galère surtout, ne comprenant plus rien à rien, le voisin et moi. Simples spectateurs, et pas acteurs.
    
    Elles n’ont pas joui, bien qu’elles aient dû. Elles se maintenaient dans un état que nous, Pierre et moi sommes incapables d’atteindre. Au seuil, mais sans ne jamais faire le dernier pas qui fait tomber dans le vide. Impressionnant. Elles nous donnaient une leçon. Pas de vie, mais d’amour. Car ce n’était pas de la baise, mais de l’amour à l’état brut. Rien ne semblait urgent, important. Seul le plaisir, de donner, de recevoir, primait. Symbiose parfaite, partagée, réelle. J’étais ébahi, moins de voir ma femme avec la sienne, que la grâce avec laquelle elles se maintenaient dans un état qui me fait ...