Ma mère, asservie. (8) - Histoires de Sexe

Ma mère, asservie. (8)

... surprendre. Tu joues avec le feu Tobias.

— C’est pour mieux incendier tes sens.

— Je n’aurais pas dû te laisser faire. Je suis complètement folle.

— Tu en mourrais d’envie, pourquoi t’en priver ?

— Tu le sais bien…

— Arrêtes de lutter, tu n’arrives pas à résister. C’est trop fort ce qu’on partage. Regarde comme tes yeux ne lâchent pas du regard ma bite. On dirait que tu n’as qu’une envie, c’est de la reprendre dans ta bouche.

— Je… Tobias il faut que j’aille me coucher…

— Suce-moi encore avant, dis-je d’un ton autoritaire.

Mon ton brusque a allumé une petite étincelle dans son regard et je la vois abdiquer, portant sa main à ma verge dont elle s’empare avec fermeté, avant de la glisser dans sa bouche. Quel plaisir de retrouver ce si chaud fourreau… Je vois que ça lui plaît aussi car, accroupie à mes pieds, elle se caresse de sa main libre. Cela me donne une idée et je recule. Elle me regarde, abasourdie.

— Qu’est-ce que tu fais ?

— Touche-toi. Je veux que tu te caresses jusqu’à ce que tu sois sur le point de jouir.

— Mais... et toi ?

— Je vais faire de même. Mais attention, interdiction de jouir. Tu as compris ?

— Oui.

— Bien, sortons de la douche, mets-toi contre le lavabo. Je veux voir ta petite chatte palpitante…

Elle obéit, s’asseyant sur le lavabo, les cuisses bien écartées, m’offrant un splendide spectacle. Ses doigts se glissent dans ses replis, la caressent et la fouillent jusqu’à ce qu’elle pousse de brefs soupirs. Quant ...

... à moi, j’observe attentivement ma mère se masturber pendant que ma bite frémit d’impatience de retourner se loger en elle. Mais que choisir cette fois ? J’ai bien envie de lui en mettre partout, la souiller de mon foutre, la marquer pour lui montrer qu’elle est à moi, et que je suis à elle.

Même si la chaleur de sa bouche m’appelle, quand je vois ses yeux rouler dans ses orbites, je comprends qu’elle est toute proche de l’orgasme. Elle s’arrête alors et ferme les yeux en soupirant, pour reprendre son calme.

Je ne peux résister et plonge sur sa vulve trempée, que je viens lècher avec avidité. Elle pousse un cri et plonge ses mains dans mes cheveux alors que je suce son bourgeon de chair. Je le sens palpiter sous mes succions et glisse deux doigts dans sa fente pour atteindre son point si sensible. Il est temps.

— Vas-y jouis.

Elle rugit quand l’orgasme l’emporte, plantant ses ongles dans mon cuir chevelu. Je me repais de son nectar qui coule abondamment , savourant son jus jusqu’à ce qu’elle me libère.

Je me relève et pointe mon sexe tendu vers son visage, m’astiquant frénétiquement. La jouissance me prend alors et je l’arrose de ma semence collante qui dégouline sur son corps nu. Comme elle adore le faire, elle récupère le breuvage de ses doigts et le lèche jusqu’à la dernière goutte.

— Tu me rend complètement folle Tobias… murmure-t-elle en reprenant ses esprits.Je ne sais pas ce que ça va donner cette histoire.

— Mais ça en vaut la peine ?

— Oui. Ça ...