Ma mère, asservie. (8) - Histoires de Sexe

Ma mère, asservie. (8)

En ce moment, je suis à cran. Mon entraîneur m’a trouvé un combat contre un type assez balèze et je dois tripler les entraînements pour être au niveau. Sauf que du coup, je suis de moins en moins à la maison et quasiment jamais seul avec ma mère. J’ai peur que Louis profite de mon absence pour reprendre ses mauvais traitements et chaque soir , quand je rentre épuisé, je prends le temps de sonder ma mère pour voir si elle n’a pas de marques. Pour le moment, rien ne vient entacher son si joli teint d’albâtre. Tant mieux.

Comme je ne suis pas serein, j’ai décidé d’installer une caméra dans leur chambre. Au cas où il la frappe, j’aurais une preuve sous le coude. Mais comment accéder à leur chambre sans qu’ils le sachent ? Les seuls moments où je suis à la maison, ils y sont aussi. Tous les deux. Il a fallu que je fasse très discrètement, juste avant le repas. J’ai dissimulé la caméra, braquée sur le lit pour voir tout ce qu’il lui fait. Mais quelque chose a attiré mon attention sur la table de chevet de ma mère. Un god de bonne taille, rose fuchsia. La curiosité me taraude… mais des bruits de vaisselle m’apprennent que ma mère est en train de mettre la table. Je la rejoins encore excité par ma découverte.

Je l’aide à mettre la table, me faufilant derrière elle en la frôlant exprès.

— Tobias à quoi tu joues ? Louis est à côté, il arrive.

— Tu me manques…

— Mets les couverts s’il te plaît.

— Bon qu’est-ce qu’on mange ? demande Louis en s’asseyant à table.

— ...

... Rôti de dinde au riz sauvage et courgettes aux herbes.

— On est au régime ou quoi ? Et pourquoi pas du poisson tant qu’on y est ? se plaint-il

— C’est très bon pour le cœur et la circulation, lui répond-elle d’un ton las

— Je vois… Et tu crois que c’est en changeant mon alimentation que ça va arranger le problème ?

— Ça peut contribuer…

— Ma pauvre idiote, tu sais très bien que c’est à cause de toi.

— Chéri, ne parlons pas de ça devant Tobias s’il te plaît.

— Pourquoi ? Tu ne veux pas qu’il sache que sa mère est une grosse coincée qui ne fait aucun effort ?

— Ça suffit ! Tonné-je en frappant sur la table. Ne parle pas de ma mère comme ça !

— Sinon quoi ? Tu vas m’en coller une ? Essaie et je porte plainte direct.

— Stop, s’il vous plaît, intervient Rose-Marie pour essayer d’apaiser l’ambiance. Tobias, vas dans ta chambre.

— Mais tu le laisses t’insulter comme ça ?

— Va-t-en.

Affligé, j’obéis et la laisse seule avec lui. Dans ma chambre, je fais les cent pas, tourmenté par la rage qui bouillonne en moi. J’ai la mauvaise idée de retourner à la cuisine, attiré par des bruits étranges. Je vois Louis, tenant ma mère sur ses genoux, prêt à lui asséner une bonne fessée. La main se lève dans les airs puis s’abat sur la chair tendre de ses fesses. Une deuxième claque résonne dans la pièce et ma mère pousse un cri de douleur.

— Ne me parle plus jamais comme ça devant ton merdeux de fils, t’as compris ?

— Oui…

— Bien, maintenant tu vas me ...