Ma mère, asservie. (8) - Histoires de Sexe

Ma mère, asservie. (8)

... dire pourquoi je ne bande plus en ce moment et de qui c’est la faute.

— C’est ma faute. Parce que je refuse que tu me prêtes à ton collègue.

— Ah enfin ! Et tu vas faire quoi pour y remédier ?

— Louis… je ne veux pas coucher avec lui.

— Tu vas me laisser comme ça encore longtemps ? s’énerve-t-il

— Je vais y réfléchir. Je te le jure.

— Je veux que tu comprennes Rose-Marie, que ma patience a des limites. Je n’attendrais pas longtemps.

— J’y penserai, promis. Laisse-moi maintenant.

— Il te faut une correction pour que tu retiennes bien le message.

Il empoigne alors la cuillère en bois et avant qu’elle ne s’abatte sur sa croupe, je fuis jusqu’à ma chambre, incapable d’en voir plus. Alors comme ça, il veut la partager avec un autre homme ? Heureusement qu’elle refuse, il est hors de question qu’un autre que moi la touche.

Attends… Et si c’était moi cet autre mec ? Une idée germe dans mon esprit et me tient éveillé jusque très tard dans la nuit.

Ce n’est que vers le milieu de la nuit, alors que l’appartement est silencieux depuis déjà un bon moment, que j’entends le bruit de la douche. Ce ne peut être que ma mère, étant donné les ronflements qui s’échappent de leur chambre. J’entre dans la pièce, déjà emplie de buée et vois sa silhouette à travers la vitre.

Me débarrassant de mes vêtements, je me glisse dans son dos, sous le jet d’eau chaude, et me colle à elle. Mes mains empaument ses seins, alors que ma verge raidie vient se frotter à son ...

... sillon. Elle laisse échapper un soupir et plonge la tête en arrière pour me laisser dévorer son cou. Je vois les marques rouges dessinées sur ses fesses et hésite, de peur de lui faire mal. Mais elle pousse un soupir suppliant :

— Tobias…

Je laisse courir ma langue sur sa peau diaphane, malaxant son sein tandis que mon autre main se dirige vers sa vulve trempée. Deux de mes doigts pincent son petit bouton de chair, le torturent pour mieux la faire crier. Elle gesticule entre mes doigts, se fond contre moi, si bien que mon sexe se retrouve enserré par ses lobes. J’ai tellement envie de lui enfoncer bien profond, découvrir la douce chaleur de sa matrice. C’est fou cet effet qu’elle me fait !

Mes doigts s’agitent plus vite en elle, le plaisir l’obligeant à courber l’échine, elle se retient au mur comme elle peut.

Je me baisse alors pour venir baiser ses cicatrices rougissantes et déguster sa chair suintante. Enfin, je sens son goût sur ma langue et sa saveur est si exquise, que je pourrais la laper toute la journée. Elle écarte les cuisses, s’appuie sur le mur dans une position sensuelle et se laisse emporter par les caresses de ma langue. Ses fesses charnues sont si tendres, on en mangerait ! C’est d’ailleurs ce que je fais, entre douces morsures et avides coups de langue. Son jus est un délice qui coule le long de mon menton. Je n’en peux plus, j’ai envie de la prendre.

Je me relève et me love contre elle, laissant mon sexe se nicher dans son sillon. Le doux ...