Ma mère, asservie. (8) - Histoires de Sexe

Ma mère, asservie. (8)

... mouvement de balancier que nos hanches font agit comme une masturbation sur moi et ma queue est au bord de l’explosion. Si seulement je pouvais entrer en elle…

— Tobias… S’il te plaît… gémit-elle entre mes doigts.

— Ne t’inquiète pas, je ne rentrerai pas.

— Si… Mets-la moi s’il te plaît ! J’en ai trop envie…

— Oh bordel, me dis pas ce genre de choses…

— Je veux te sentir… halète-t-elle.

— Putain…

Il ne m’en faut pas plus pour présenter mon gland face à cette cavité qui m’appelle. Maintenant que je tiens ses hanches entre mes doigts, je la serre fort pour être sûr de ne pas rêver. Je pousse alors mon bassin, m’enfonçant dans sa chair qui s’écarte sur mon passage. Elle est bien plus serrée que Doriane, et malgré sa cyprine qui ruisselle, j’ai du mal de l’investir entièrement du premier coup. Elle gémit en se tordant contre moi, ondulant des hanches pour que je bouge. Mais j’attends ce moment depuis tellement longtemps ! J’ai envie d’en profiter.

Cette sublime sensation de sa chair entourant ma queue me rend dingue, j’y resterai toute ma vie si je pouvais. Je prends alors tout mon temps pour la limer avec une lenteur infinie. Je sais qu’elle veut que j’y aille plus fort, je ralentis encore mon mouvement pour la rendre folle.

— Tobias… vas-y je t’en prie…me supplie-t-elle .

Sa voix suppliante me fait bander encore plus fort, si cela est possible. Arrimé à ses hanches, je me propulse au fond d’elle et commence à la marteler de plus en plus fort. Elle ...

... se retrouve vite le visage collé au mur, tant mes assauts sont virulents. J’agrippe alors sa longue crinière rousse et la tire en arrière, pour plaquer ses seins contre la surface froide. Mon autre main se glisse par devant et vient pincer son clitoris tandis que ma bite va et vient dans sa chatte à un rythme fou.

— Oh oui vas-y baise-moi ! Encore ! C’est...Trop… Bon… articule-t-elle sous les coups de reins.

— Vas-y jouis salope, osé-je

Je la sens partir, ses jambes se mettent à trembler et je la retiens alors qu’elle jouit dans un long soupir d’extase. Sa chatte convulse autour de ma queue et ces spasmes viennent à bout de mon endurance.

Dès que je la sens de nouveau atterrir, je me retire de son antre et lui commande de s’agenouiller.

— Vas-y ouvre la bouche, je vais t’en foutre partout.

Je me branle furieusement devant sa bouche ouverte et pousse un grognement de plaisir quand elle aspire mon gland entre ses lèvres.

— Oh putain ouais… Ça vient, je vais…

Ma verge est prise de spasmes et dans un puissant râle, je jouis, remplissant copieusement sa bouche de mon épaisse semence. Ma mère prend bien le temps de nettoyer ma queue qui ne veut pas débander malgré ce violent orgasme.

— Et bien… Tu es encore d’attaque à ce que je vois.

— Ça te change de Louis.

— Qu.. Pourquoi tu dis ça ? s’empourpre-t-elle

— Pardon j’aurais pas dû te parler de lui. J’ai encore hyper envie de toi, tu n’imagines même pas…

— On a eu de la chance de ne pas se faire ...