1. Amazonie (4)


    Datte: 17/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory

    Cela faisait trois mois que je vivais pleinement ma vie de femme au sein de la tribu. Je n’avais certes pas encore connu les joies de la pénétration de mon sexe par un homme, mais les jeux saphiques avec mes sœurs m’avait bien initiée et préparée pour l’événement. Je m’étais faite déflorer par une bite de bois lors de nos jeux entre filles et j’avais pu avoir l’expérience de l’orgasme féminin sous les caresses de mes partenaires. Quel beau cadeau de Dieu les femmes avaient-elles reçu elles aussi ! Me souvenant de ce que les femmes vivaient dans ma civilisation d’origine, j’étais de plus en plus en colère contre ce que les hommes leur, nous, que dis-je, faisaient endurer. Ils nous empêchaient de vivre notre sexualité, nous imposaient un patriarcat abominable. Comment Dieu pouvait-il laisser faire cela ?
    
    Mélanie allait sûrement apprécier le passage que je venais de traduire ! Je me demandai quand frère Jérôme avait rédigé ce manuscrit et qui avait bien pu le lire. La connaissance publique de ces opinions lui vaudrait les sévices de l’Inquisition, la torture et le bûcher. Je repris ma traduction.
    
    Un mois nous séparait des prochains trois jours de copulation. J’étais impatiente de connaître enfin l’étreinte amoureuse avec un homme. Et pourquoi pas avec plusieurs d’ailleurs. Orana et Milia m’avait raconté qu’il leur arrivait de se faire prendre par deux hommes en même temps, l’un dans sa fente, l’autre dans sa bouche. Elles n’avaient pas encore tenté de se faire prendre ...
    ... simultanément par le sexe et par le cul mais elles y pensaient. Quel bonheur d’être une femme et de pouvoir profiter de tous ces plaisirs.Mais le malheur frappa durement et soudainement notre village et les trois jours n’eurent pas lieu. Le lendemain matin de notre dernière discussion, de nombreuses sœurs ainsi que des enfants toussaient, avaient une forte fièvre et présentaient des tâches rouges un peu partout sur leur corps. J’avais déjà vu de tels symptômes dans ma vie antérieure. C’était la rougeole, une maladie bien connue dans mon monde, très contagieuse et potentiellement mortelle pour les adultes. Nous mîmes tout en œuvre pour les soigner et endiguer le fléau mais au fil des jours beaucoup de femmes moururent.Nous apprîmes qu’il y avait eu quelques jours avant que l’épidémie ne se déclare rune encontre dans la forêt entre certaines d’entre nous avec des hommes du village le plus proche du nôtre. N’étant pas affectée, je partis seule pour voir ce qui se passait aux alentours. J’appris dans ce village que toutes les communautés de la zone étaient touchées. Les adultes mourraient en masse. Il semblait qu’il y avait eu un contact avec des conquistadores. Je pensai immédiatement que c’était eux qui avaient amené la maladie. Les indigènes de ce continent, que nous appelions indiens, étaient très sensible à certaines des maladies apportées par nous les blancs. La rougeole en faisait partie.Je revins au village, celles qui étaient encore en vie tentaient du mieux qu’elles ...
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