Naturels - Histoires de Sexe

Naturels

... C’est bien ce que je pensais. Si on a l’heur de te plaire, on le regrette rarement !
— Sauf quand on me quitte pour une autre greluche.
— Oh, je crois savoir à qui tu fais allusion, ma chérie…

Elle me regarde longuement :

— C’est marrant ! T’es bien l’un des rares mecs à qui je peux causer de tout ça spontanément sans risquer une scène de jalousie…
— Le passé est le passé, nous étions alors sur des chemins différents. Par contre, ne t’avise pas de me faire des entourloupes au présent. Je veux bien être large d’esprit, mais s’il faut te donner une énorme fessée, je te la donnerais sans hésitation !
— Ah bon ? Comme dans le film ?

Je marque un temps d’arrêt avant de répondre :

— Ah oui, c’est vrai ! En plus de la scène torride à la plage, il y avait une scène de fessée.
— L’une comme l’autre n’a pas été simulée ! Le rouge de mes fesses était cent pour cent vrai, sans aucun maquillage ! Mon cul s’en souvient doublement !

Comme je sais additionner un plus un, quelque chose fait tilt dans mon cerveau :

— Dois-je comprendre que la scène de la plage n’était pas du tout simulée ?
— Ben… pas vraiment… Mais ça m’a permis d’avoir une petite prime en plus, et aussi de mieux lancer ma carrière… le bouche-à-oreille dans le milieu… même si ça passait pour être une simple rumeur.
— Je vois… Et suite à cette belle performance, tu n’as pas versé dans le X ?
— Oh, j’ai failli ! Si j’avais écouté certains gugusses, j’aurais pu faire des tas de films dans ce créneau et ...

... gagner plein de sous, mais j’ai préféré éviter, car j’avais dans l’idée de faire des films grand public.

Après avoir relevé sa jupe et abaissé sa petite culotte, révélant un cul rebondi que j’adore, je me vautre à nouveau impudiquement sur son dos, ma verge bien calée entre ses deux monts blancs postérieurs :

— Donc tu as préféré tourner le dos à l’argent facile ?
— On va le dire comme ça. Mais bon, le X, ça rapporte peut-être, mais t’es vite déclassée en tant qu’actrice. J’ai préféré miser sur le long terme, même en acceptant des rôles assez légers. Tu prends Isabelle Mergault, elle et moi, on a commencé dans le même créneau. Elle a su se recycler dans l’écriture, le théâtre et la réalisation.

Tout en me frottant copieusement dans son sillon, je réponds :

— Tu pourrais essayer de faire la même chose, non ?
— Et toi, tu vas essayer de me faire quoi, là ?
— Oh moi ? Je ne vais pas essayer, je vais me faire un plaisir de t’enculer, ma chérie !
— Bien voyons ! Comme ça ? À sec ?
— Je lubrifierai en temps voulu…

Se laissant faire, Magalie murmure :

— Tu sais, l’acteur, il avait déjà à moitié éjaculé…
— Je le comprends ! Tu as des fesses irrésistibles, ma garce adorée !
— C’est ça qui lui a servi de lubrifiant quand il m’a enculée !
— T’es une sacrée, toi !

En effet, ce n’est pas une mauvaise idée, à condition que je sache me maîtriser ! Cette petite salope m’excite tellement que je serais capable de tout lâcher d’un seul coup ! Je réalise soudain que ...