Chrysalide
Datte: 12/08/2023,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
mélo,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... devant moi ! L’appel incoercible de la reproduction, indispensable outil de la survie de l’espèce, peut décidément surpasser tous les obstacles.
Je pensai soudain, en lui faisant minette, que ce n’était pas la première fois que nous travaillions ainsi ensemble, tard après le boulot, et qu’elle avait peut-être déjà plusieurs fois tout préparé pour son « grand soir », et que j’étais parti rapidement en dédaignant cette offrande muette. Je redoublai de vigueur sur son clitoris, elle redoubla de miaulements puis claqua ses cuisses contre mes joues en se cambrant convulsivement. Son vagin trempé de cyprine se contracta sur les deux doigts qui l’occupaient. Oh la belle bleue ! Voilà une défloration qui s’annonçait bien par un joli orgasme qui devait sûrement être le premier reçu. Je profitai de ses spasmes pour donner un bon coup d’ongle dans la membrane qui obstruait le conduit, première ouverture que le plaisir dissimula en partie. J’en parle aujourd’hui avec légèreté, mais je n’étais pas si fanfaron que cela : quelle responsabilité que de déflorer une jeune femme de vingt-huit ans ! Il ne faut pas se rater sous peine de gâcher toute une vie sexuelle avec de belles années encore en perspective. Je remontai alors vers ses seins et sa bouche, présentant simultanément mon gland vers sa vulve humide et palpitante. Elle me serra dans ses bras, ouvrit ses cuisses un peu plus.
— Vous êtes sûre d’être prête, lui murmurai-je ?
— Certaine…
Je me redressai à demi pour guider mon ...
... membre et éviter tout poil, repli de lèvre ou fausse manœuvre qui aurait pu gâcher l’instant. Je sentis encore un peu l’obstacle qui céda tout de suite, déjà entamé et distendu par mon pénis dilaté. Elle gémit doucement, voilà j’étais au fond d’elle, butant contre le bourrelet sensible du col de l’utérus. Sans plus bouger le bassin, je l’embrassai longuement, lui donnant le temps de s’habituer. Elle était terriblement serrée et parcourue de convulsions. Je crois qu’en restant ainsi immobile j’aurais pu moi-même arriver à l’orgasme sans rien faire. J’entamai quelques oscillations, guettant sur son visage le moindre stigmate de douleur. Mais non, la « pilule », si j’ose dire, était bien passée. Tendres va-et-vient, puis secousses plus hardies, tout allait pour le mieux. Il fallait ranimer le plaisir, et je m’appliquai à bien appuyer en cadence mon bas-ventre sur son clitoris. Dressé sur mes bras, donnant ainsi accès à ses pointes de seins pour ma bouche avide, j’entamai un pilonnage en règle, avec une certaine retenue cependant.
Elle ne tarda pas à haleter, à griffer convulsivement la peau de mes épaules, et la vague l’emporta de nouveau. Elle jouissait donc plutôt vite, tant mieux. J’en profitai pour accélérer le mouvement en amplitude et en force. Elle retenait parfois sa respiration, devint écarlate lâchant des gémissements étouffés, tendue de tous ses muscles, puis relâcha en un râle et reprit ensuite. Le rythme devenait effréné. Je me sentais aussi au bord de l’orgasme, ...