Chrysalide
Datte: 12/08/2023,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
mélo,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... encore, juste pendant la cérémonie de mariage d’une cousine. Les talons n’étaient pas immenses, cinq ou six centimètres, mais suffisants pour maintenir cette cambrure qui fait ressortir les fesses et bomber la poitrine. Je l’accompagnai à la salle de bain tandis qu’elle fixait ses longs cheveux bien tirés en une torsade enroulée sur le sommet de son crâne. Je m’adressai à elle dans le miroir :
— Voilà, cinq centimètres aux pieds, cinq sur la tête, vous donnez l’impression d’avoir pris dix centimètres. Plus grande, donc plus élancée, et tout ce qu’il faut pour mettre en valeur ça et ça. C’est superbe !
En disant « ça et ça », j’avais joint le geste à la parole, portant mes mains d’abord sur ses fesses puis ensuite sur ses seins, les soulevant délicatement mains en coupes, les pressant tendrement. Ce faisant, je m’étais plaqué contre elle, appuyant mon sexe congestionné contre la naissance de ses fesses.
— Ça vous plaît vraiment, demanda-t-elle timidement, le feu toujours aux joues ?
— Mieux que ça, vous allez voir…
Pour me mettre sur un pied d’égalité, je posai moi aussi mes vêtements. La ceinture élastique de mon boxer accrocha mon sexe qui fouetta contre mon ventre, cobra dressé prêt à mordre.
— Vous voyez l’effet que vous me faites ?
— Je… C’est… c’est la première fois que je vois un homme… C’est… c’est beau !
— Vous pouvez toucher, ça ne mord pas, dis-je en lui prenant le poignet pour amener sa menotte sur ma queue dressée.
Choc électrique ! J’en pris ...
... autant qu’elle. La laissant s’amuser avec son nouveau jouet, je promenais mes mains partout où j’avais envie, palpant et pétrissant seins, fesses, entrefesse, toison dans laquelle je me délectai à pleins doigts. La coquine commençait à s’enhardir et à bien tripoter mon joujou. Comme de mon côté je ne perdais pas de temps, une petite buée significative recouvrit son corps, il était temps de passer aux choses sérieuses. D’abord, donner de la couleur à ses lèvres avec un baiser fougueux, long, endiablé, ponctué de succions de ses lèvres entre les miennes. Je la fis de nouveau se regarder dans le miroir :
— Voyez : un léger rouge à lèvres, changer ces grosses lunettes par de plus fines et plus féminines, et vous serez un vrai « canon » !
Elle ne commenta pas, elle avait d’autres choses en tête et se retourna dans mes bras. Nouveau baiser, marche enlacée vers sa chambre, son lit où nous tombâmes ensemble. Sa bouche avec mes mains sur ses seins, ses seins avec ma main entre ses cuisses, puis mon museau entre ses cuisses qui s’ouvrirent comme une fleur aux rayons du soleil levant. J’explorai, je léchai, je suçai, elle sentait bon la savonnette et les effluves de femme, elle ronronnait comme une chatte en chaleur. C’était bien ce que je pensais, ce délicieux minou était dans le même état qu’au jour de sa naissance. Fallait-il qu’elle ait désiré ce moment pour avoir tout si bien préparé et combiné ! Que de courage a-t-il fallu à cette fille trop timide pour oser se déshabiller ...