Chrysalide
Datte: 12/08/2023,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
mélo,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... portait pas de culotte, elle posait ses fesses rebondies sur sa chaise tournée vers moi, croisait les jambes puis effectuait un quart de tour vers le public qui ainsi ne pouvait profiter que du spectacle de ses jambes, ce qui n’était déjà pas mal. Elle effectuait la manœuvre inverse pour se lever.
Ce jour-là donc, quelques mois après avoir convolé, j’eus le flash rapide d’avoir aperçu son intimité, surtout je pense parce que je la connaissais bien. Une cascade d’images toutes plus érotiques les unes que les autres se bousculèrent dans ma mémoire, au point que je crus percevoir en plus son parfum le plus secret. C’était certainement absurde, tout au plus avais-je reçu une bonne salve de phéromones, mais une brusque chaleur me monta aux joues et ma gorge se serra, perturbant les premiers mots de mon intervention. Tout le reste me parut interminable, surtout le traditionnel pot final. Comme nous tenions notre réunion dans une salle aménagée dans l’ancien garage de la propriété, avec les studios au-dessus, je fis activer le mouvement pour ne pas perturber nos stagiaires trop tard.
Objectif, vite remonter dans les bureaux de l’étage du pavillon avec Claudia. Je n’allumai même pas, me ruant sur les boutons de sa veste et la fermeture de sa jupe, découvrant mon erreur. Car elle était sagement sanglée dans un soutien-gorge, une culotte et un collant, sans la moindre intention de me provoquer. Elle avait suivi une simple habitude gestuelle longtemps rodée. Qu’importait, la ...
... machine était lancée et rien n’y résista, surtout pas la jeune femme qui se laissa conquérir avec, un rai de réverbère me le montra, un léger sourire aux lèvres. Elle serra les dents sous la violence de mes assauts, ne dit mot aux turpitudes que je lui fis subir, retrouva les gestes qui me rendaient propre et apaisé lorsque ma furie se fut éteinte au fond de son ventre chaud.
— Je suis désolé, je n’aurais pas dû, murmurai-je tandis qu’elle se rhabillait.
Alors, avec une expression d’infinie bonté, elle me prit le visage entre ses mains encore frémissantes :
— Je te l’ai dit, je serai toujours là pour toi, quand tu voudras, quand tu auras besoin…
Et le besoin ne tarda pas. Peut-être aussi à cause de cette énorme différence entre Hélène et Claudia. Avec l’une, je subissais, j’exécutais son bon vouloir, quelque part méprisé et soumis. Avec l’autre, j’étais admiré, apprécié, aimé, et je faisais ce que je voulais sans remarques, sans reproches, sans questions. Quoi qu’il en soit, les nuages s’accumulaient sur mon couple, le temps tournait à l’orage. Même nos rapports physiques n’étaient plus ceux du début, sans imagination, sans surprise, même si le plaisir était toujours là. Je me pris en flagrant délit de faire attention, soupçonnant Hélène de pouvoir souhaiter un enfant sans m’en informer. Heureusement, il n’en fut rien. Mettre un peu de distance, c’est ce qui se fait dans de tels cas, c’est ce que nous fîmes. Hélène avait des conférences à l’étranger, sa boîte de com ...