Chemin faisant
Datte: 10/08/2023,
Catégories:
ff,
forêt,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... pourrais…
— Te casser la figure au moindre faux pas !
Ce n’est pas faux. La pente est forte, je n’ai aucune envie de me retrouver avec le nez en compote.
— Oui, mais comment faire ? Si je ne le retiens pas, il va me tomber aux chevilles, et si je le remonte et le reboutonne, tu avais raison, marcher devient vite insupportable.
— Enlève-le !
— Tu en as de bonnes ! Descendre cul nu jusqu’à la route. Et si on croise quelqu’un ?
— Je ne crois pas. Ce doit être un de ces chemins interdits aux voitures, et à l’heure qu’il est, on ne rencontrera plus de promeneurs.
Je ne suis pas très chaude pour me déculotter, malgré ses arguments. D’un autre côté, je ne vois pas d’autre solution pour éviter de me scier la chatte en marchant je ne sais combien de temps encore. D’ailleurs, Colette insiste à nouveau.
— Enfin, Chantal, tu risques de te blesser, et à cet endroit là, ce serait dommage, rit-elle. Et puis, si quelqu’un arrive, je me mettrai devant toi.
Je ne suis pas sûre qu’elle puisse servir de paravent efficace, mais je cède. Elle pousse l’obligeance à baisser elle-même le jean. La fraîcheur de l’air entre mes cuisses est déjà un soulagement. Je m’apprête à dégager mes pieds, mais elle reste accroupie à examiner la couture indélicate.
— Ah, ben voilà pourquoi, s’exclame-t-elle en passant le doigt dessus. C’est plein de poussière et il y a des sortes d’épines qui se sont prises dans les fils. On aurait dû vérifier avant, on aurait pu nettoyer avec de l’eau. Là, ...
... ça fait comme du papier-verre.
Je m’étonnais de cette gêne que je n’avais jamais remarquée. Même à travers la culotte, si c’était trop serré, je m’en serais aperçu. Maintenant j’ai l’explication, qui ne résout rien pour autant !
— Cela dit, reprend-elle avec un sourire, tu l’as pas mal humectée, ta couture ! N’importe, je comprends que ça t’ait fait mal. Laisse-moi voir si tu n’es pas trop irritée.
Ni une, ni deux, elle saisit les lèvres de ma chatte et les écarte largement. Je n’ai même pas eu le temps de m’y opposer. L’aurais-je fait, au fait, si elle m’avait demandé ?
— Non, les petites lèvres, ça va, inspecte-t-elle. Un peu rougies, mais comme elles sont bien mouillées, elles n’ont pas trop souffert. Tu as mal, si je les étire ?
Non, non, je n’ai pas de mal, plutôt du bien… À cause de la brise qui les caresse, sans doute. Peut-être aussi que les allonger les décongestionne. Oui, en effet, ça apaise. La coquine doit se rendre compte de mon soulagement, parce qu’elle augmente les tractions de ses mains jusqu’à obtenir deux ailes de papillon bien déployées. Je soupire d’aise.
— Ouh la la ! Par contre, l’intérieur de ta chatte est drôlement irrité. C’est tout rouge. Les épines, je suppose. Une chance que ton clito soit bien protégé. Dix pas de plus et tu t’écorchais la minette ! Il faut que je te soigne.
Là non plus, je n’ai pas le loisir de protester. Elle a déjà plaqué sa langue à plat dans ma fente et la promène tout du long. C’est doux, c’est tendre, ...