1. Deux sœurs et un Coronavirus (2)


    Datte: 08/08/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: airdepanache, Source: Xstory

    ... revenait, ma bouche contre la sienne, et je posai une main sur son sexe à peine couvert d’un tout petit peu de dentelle. Enfin non. Je dis "poser", mais la description n’est pas à la hauteur du phénomène. La vérité? J’avais envie de la faire jouir. Et pour ça, je partis à l’attaque de sa vulve, cherchant à la branler à travers sa culotte. Oui, c’est cru comme descriptif, mais rien dans l’acte en lui-même n’évoquait le romantisme et les petites fleurs. Je voulais faire jouir ma petite sœur, OK ?
    
    Je sentis vite que l’affaire allait être rapidement menée. Je trouvai l’entrejambe de Lili complètement trempée, comme si elle sortait d’un grand bain dans l’eau tiède. Visiblement, elle était aussi excitée que moi. Génial. Je poussai mes doigts en elle à travers le tissu ajouré, ce qui lui fit pousser un cri que j’étouffai d’un baiser profond.
    
    À partir de là, je ne la lâchai plus. Je branlai ma sœur de haut en bas, très vite, puis très lentement, très tendrement, puis avec agressivité, explorant toute la longueur, puis la profondeur, avant d’esquisser des cercles autour de son clitoris ferme comme une gomme de crayon. À chaque nouvelle étape, elle gémissait plus fort, ses mains se crispaient plus profondément dans les draps, les muscles de son ventre se tendaient davantage. Je la tenais. Il ne me manquait pas grand-chose avant de...
    
    Mais elle, elle avait d’autres plans. Pas question de céder à mes caresses trop rapidement. Elle se dégagea et me fit subir une variante de la ...
    ... manœuvre que j’avais moi-même initiée. C’est con, mais je fus aussi surprise qu’elle l’avait été quand elle envoya voler mon t-shirt et mon bas de training trempé de mouille. Nous étions enfin l’une contre l’autre, en sous-vêtements, à nous dévorer la gueule en nous touchant mutuellement la chatte à travers nos culottes.
    
    Je crois que je n’avais pas pris conscience auparavant de l’état dans lequel j’étais. À son premier contact, je sentis un plaisir qui était déjà annonciateur d’un orgasme. J’étais de la pâte à modeler sous ses doigts. Elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait.
    
    Désormais, il ne restait plus que la phase finale. Frénétiquement, comme deux folles à lier, nous nous sommes emboîté l’une contre l’autre, nos mains entre nos cuisses à masturber l’autre sans ménagement, dans le simple but de provoquer le plus vite possible l’explosion tant attendue. La voix de ma petite sœur se mêla à la mienne dans un concert de cris.
    
    Puis, soudain, comme si j’étais en train de me désagréger, un plaisir indicible gagna chaque cellule de mon corps, jusqu’à ce qu’il ne soit plus possible de revenir en arrière.
    
    Je jouis. Un choc violent. Tous mes nerfs à vif, encore et encore et encore. Imaginez la pire douleur que vous avez ressentie de votre vie, mais en inversée. Le plaisir oblitérait ma conscience, obscurcissait ma vue, enflammait ma peau, détraquait les battements de mon cœur. C’est banal de le dire, je sais, mais non, je n’avais jamais ressenti ça avec un garçon. ...