1. Deux sœurs et un Coronavirus (2)


    Datte: 08/08/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: airdepanache, Source: Xstory

    ... passant de la verticale à l’horizontale, nous avions effectué la transition entre "moment d’égarement" et "histoire de cul." Et puis ça ouvrait de nouvelles perspectives.
    
    C’est moi qui repris le commandement des opérations en embrassant à nouveau ma petite sœur sur la bouche. J’étais déjà en manque du goût de ses baisers. Je n’avais pas des papillons dans le ventre, j’avais des oiseaux, des avions, toute une escadrille.
    
    Et c’était reparti pour le ballet de nos lèvres. Avec beaucoup de frénésie. Nos visages s’attrapaient, se happaient, s’absorbaient. Nous étions soudées bouche à bouche. Ses cils caressaient fugitivement mes pommettes. Son souffle réchauffait mes joues. Impossible de me rassasier de la saveur de sa langue.
    
    Entre deux bisous, on osait désormais se dire quelques mots. Il y a un instant encore, la moindre parole aurait rendu notre étreinte trop réelle, mais là on se donnait de l’"Agathe", de l’"Émile", des "oui", des "oh" et des "vas-y." Mais ça n’allait pas au-delà.
    
    De toute manière, c’est compliqué de faire la conversation quand on a la langue de sa sœur dans la bouche, j’ai remarqué.
    
    Ce baiser fut sans fin, un marathon de bisous. Aucune de nous deux ne parvenait à s’arrêter. Nous étions insatiables, nous ne pouvions pas envisager d’interrompre cette étreinte, nos bouches étant pour nous comme de l’oxygène. Cela dura, je crois, des heures, à perdre la tête à force d’embrasser ma sœur.
    
    On ne quittait nos bouches que pour se bécoter le front, ...
    ... le nez, les paupières, le menton et surtout le creux du cou parce que ça rendait Émilie complètement folle et que ça lui arrachait des petits piaillements très excitants.
    
    Et puis vint un moment, forcément, où notre désir en réclama encore davantage. Envahie par des pensées très coquines, le ventre grignoté par l’appel de la chair, on avait énormément envie de se toucher.
    
    C’était parti pour mes mains sur ses flancs, dans l’arrondi de son nombril, partout où je pouvais caresser sa peau, palper son corps. Elle colla ses mains sur mes fesses et ne les décolla pas, comme si elle voulait rattraper son retard après le traitement que je lui avais fait subir dans la cuisine. Elle se mit à les pétrir en lents mouvements circulaires, à les presser pour me serrer plus fort contre son corps, puis elle me fit la surprise d’aller creuser le sillon entre les deux globes, direction l’extase.
    
    Son t-shirt ne résista pas à mon désir de lui masser les seins. Envolé, le petit bout de tissu. Il ne restait plus, entre mes appétits et ses tétons, qu’une fine lingerie. Lili était accro aux dentelles. C’était adorable.
    
    Est-ce que c’était meilleur, est-ce que j’étais plus excitée parce que c’était ma petite sœur qui était dans ce lit avec moi, plutôt qu’un de ces mecs de passage dont j’avais l’habitude ? Je mentirais si je prétendais que non. La découverte érotique du corps d’une autre fille et de tout ce qu’on peut faire avec, c’était délicieux. La révélation de mon homosexualité, ou au ...
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