1. Deux sœurs et un Coronavirus (2)


    Datte: 08/08/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: airdepanache, Source: Xstory

    ... minimum de ma bisexualité, et au fond, peu importe les étiquettes, c’était fantastique, un peu comme de découvrir soudain qu’il y a dans notre maison une pièce dont on n’avait jamais ouvert la porte. Faire tout ça avec Lili, la personne que j’aimais le plus au monde, c’était merveilleux. Et puis oui, franchir les limites ensemble, s’autoriser à briser les tabous, malgré la honte, faire ce qu’il est absolument interdit de faire alors que c’est tellement bon, goûter au fruit de l’inceste, c’était sublime.
    
    Parce qu’attention. Depuis tout à l’heure, je ne fais que vous parler de désir. Oui, c’est sympa de se laisser emporter par la partie la plus débridée de nos instincts. Mais ce n’est que la mèche du feu d’artifice. À force de nous embrasser éperdument comme nous le faisions, de nous toucher, de nous caresser, j’étais tellement excitée que j’étais une vraie fontaine.
    
    Eh oui, juste derrière le désir, le plaisir pointait son nez. Les attouchements d’Émilie me faisaient peu à peu perdre tout contrôle sur moi-même. C’était trop bon. Et à entendre comment elle haletait, il fait croire que je lui faisais aussi énormément de bien.
    
    Sans même m’en rendre compte, je me mis à crier le prénom de Lili, à gémir, à l’encourager. Sans doute un peu trop fort.
    
    On était un peu inconscientes, en fait. Les murs de notre appartement étaient minces comme du papier, on entendait absolument tout. Oui, ça voulait dire que nos voisins pouvaient nous entendre gémir et crier nos prénoms en ...
    ... pleins ébats. Point de vue discrétion, on aurait pu faire mieux. Mais qu’est-ce qu’on s’en foutait, là, sur le moment. Et puis franchement, aucun de nos voisins ne nous disait bonjour en nous croisant dans la cage d’escalier. Combien d’entre eux savaient que l’on était sœurs ?
    
    À force, vous devez bien le sentir venir. Oui, on est allées plus loin. C’est vrai, je n’allais pas éternellement me contenter d’embrasser Émilie et de lui faire des gros câlins à travers du tissu. C’est un truc à perdre la raison, de se contenter de ça. Donc c’est moi qui ai sauté le pas. Quand la pression est devenue trop forte, quand le plaisir a complètement fait taire la dernière part de moi qui était raisonnable, je me suis redressée, et j’ai ouvert la fermeture éclair du short de ma sœur. Elle a fait la surprise, mais elle devait bien se douter que j’avais envie de lui retirer ses habits, non ?
    
    Ni une, ni deux, j’ai enchaîné sur la phase suivante, c’est-à-dire l’extraction du vêtement superflu. Ouste, ce petit short en jean qui portait une part de responsabilité dans la folie qui s’était emparée de nous a coulissé le long de ses jambes, avant d’aller rejoindre son t-shirt dans le désordre chronique de notre chambre. La demoiselle n’était plus vêtue que de son soutien-gorge et de sa petite culotte, tous les trois très mignons (la demoiselle et ses deux pièces de lingerie).
    
    Mais dans l’immédiat, ce qui m’intéressait était entre ses cuisses. Je replongeai contre elle, reprit la place qui me ...