1. Nue sur la toile endormie


    Datte: 07/08/2023, Catégories: grossexe, bizarre, forêt, revede, Oral zoo, Humour sf, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Kannouteki, Source: Revebebe

    ... immensément fort, accolé à mon corps dépouillé. Ça n’a pas l’air de le gêner ; moi si.
    
    Il est près, tout près de moi, contre, tout contre mes fesses dénudées.
    
    J’entends ses mots, mais sans le son. Encore son incroyable pouvoir de la pensée… Je baigne en pleine science-fiction fantaisie.
    
    T’es pas bien, ma fille !
    
    Il m’attrape, me retourne comme un fétu de paille et me dépose assise sur la berge face à lui, à moitié sorti de l’eau. Il me regarde avec un sourire goguenard.
    
    Je recule en restant sur mes fesses, bras en arrière dans un lent mouvement, jambes écartées pour prendre mieux mes appuis dans ma fuite. J’expose ainsi à sa vue et malgré moi ma fleur déjà ouverte.
    
    Prenant subitement conscience de ma délicate, mais néanmoins provocante posture face à lui, je m’arrête net et vais pour me recroqueviller pour échapper à son regard.
    
    Trop tard. Un regard… de prédateur sexuel, concupiscent(il me fait penser au Loup de Tex Avery ; il ne manque plus que la langue).
    
    Mais arrête d’avoir des images !
    
    Il avance vers moi, attrape une de mes chevilles en levant ma jambe pour me lécher du pied en remontant vers mon entrecuisse qui commence à frémir.
    
    Je vais arrêter de regarder des hentaïs (mangas pornos), moi…
    
    Ce mâle est trop fort, trop lourd pour que je puisse me débattre efficacement. Mais ai-je envie de lui résister ?
    
    Ses babines baveuses atteignent mon abricot, ma figue ouverte et plongent dans mon calice dans un doux et lent léchage très ...
    ... attentionné. Je voudrais lui résister, mais je ne peux pas : mon corps va à sa rencontre, se tortille, se frotte contre sa langue qui me fouille intimement. Je griffe sa fourrure, j’enfonce mon ventre, ma chatte vers lui. Je suis déchaînée, je ne me reconnais pas.
    
    Je me retrouve à quatre pattes sous lui totalement à sa merci. Sa colonne de chair me prend fougueusement, s’enfonce bestialement en moi.
    
    Je hurle sans cacher mon plaisir brut. Dépravée !
    
    Le calme après la tempête.
    
    Une pensée de la bête à la belle contre son cou, le sexe viril encore enfoncé dans sa douce intimité :
    
    —Ça va aller…
    
    Je suis terrassée, foudroyée par une vague de plaisir. La petite mort…
    
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    Une coquille-brancard avance sur un énorme coussin d’air dans le couloir des urgences du CHU. Les pompiers amènent une victime d’accident de cynoaéroplaneur, sport en vogue qui consiste à effectuer des figures acrobatiques avec l’aide de chiens ailés.
    
    — Femme. 32 ans. Réanimée sur place. Le cœur est reparti, mais elle ne répond pas aux stimuli externes.
    — Échelle de Glasgow ?
    — 4 à mon avis.
    — OK.J’arrive.
    
    Le jeune interne arrive, se penche et examine attentivement la patiente.
    
    — Des infos en plus ? Accident ? Médicaments ?
    — Non, on ne sait pas juste un accident.
    — Allez en soins intensifs, sous coagulant et en observation sous monitorat cérébral intercrânien. Électro et IRM ensuite.
    
    Aux soins intensifs, des infirmiers-veilleurs prennent en charge la patiente afin de ...