1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... coulais littéralement.
    
    Ce fut Kamel qui régla le problème en me susurrant à l’oreille :
    
    • Je veux te baiser debout !
    
    Cette idée d’être tirée dans cette position accentua encore plus mon excitation. Je voulais qu’il le fasse sans plus tarder.
    
    Kamel était aussi impatient que moi. Il voulait me tirer et jouir, sans plus attendre. Je sentais qu’il voulait y aller en force. Qu’il voulait prendre son plaisir en me faisant mal. Qu’il voulait me prendre brutalement.
    
    Plus tard, j’ai fini par comprendre que c’était ma manière de me tenir et de bouger qui déclenchaient chez les mâles, qui me regardaient ou me parlaient, l’envie de me tirer à la hussarde. C’était ce genre de sentiment que je déclenchais invariablement chez les hommes. J’étais le genre de femme faite pour être brutalisée. Rachid l’avis compris, comme Marie d’ailleurs. Kamel semblait hésiter encore un peu, pensant que je n’allais pas apprécier son comportement de brute. Il ne savait pas encore que j’adorais être brutalisée et avoir mal.
    
    • Qu’est-ce que tu attends ? Montre-moi la force de ton zob ! Enfonce-le moi !
    
    Il attrapa ma jambe droite en dessous du genou, la remonta très haut, et me souleva d’environ une dizaine de centimètres au-dessus du sol, pour pouvoir mettre ma chatte au niveau de son piston recourbé. Sa main gauche s’insinua entre mes cuisses et farfouilla un moment à la recherche de la meilleure manière pour permettre à son gourdin de prendre possession de ma chatte. Il y arriva, non ...
    ... sans peine. Et puis tout chavira !
    
    Je sentis l’homme qui plia un peu les genoux pour se mettre sous moi et guider la tête de son engin entre mes grandes lèvres dégoulinantes de mouille. D’un coup violent, il me pénétra jusqu’au fond de mon vagin. Je poussai un hurlement, tant la pénétration avait été brutale et douloureuse. J’étais servie! La position verticale ajoutait beaucoup d’intensité à la force de l’engin qui limait furieusement les parois de mon vagin.
    
    Rachid aussi avait pour habitude de me tirer furieusement. En me sodomisant chaque jour, il m’éclatait le cul sans aucune précaution, en me déchirant littéralement le sphincter. Mais ce n’était rien cette queue qui était en train de me déchirer la vulve. La forme courbée du monstre devait certainement augmenter sa force de pénétration. Kamel allait et venait en moi, en soufflant comme un phoque. Il me traitait de tous les noms d’oiseau, pendant qu’il me défonçait le con, relayé par les autres, spectateurs pour le moment, mais qui savaient que leur tout viendrait. Ils étaient fascinés et plein de mépris.
    
    • Prends ça, espèce de pute ! Tu le sens bien ? Tu aimes le zob ! Tu es une pute ! Dis-moi « je suis une pute » ! Dis-le !
    
    Mon excitation augmenta d’un cran à l’écoute des mots à peine audibles, crus et avilissants que Kamel prononçait. J’avais envie de lui répondre sur le même registre, mais je n’osais pas. J’avais envie de hurler les mots crus qui me venaient à l’esprit. Je me contentais pour le moment de ...
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