1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... pas, profitez-en à fond plutôt et faites bien jouir mon Olga.
    
    Sur les conseils et par l’entremise de Georges, mes « services » furent bientôt proposés aux autres résidents de l’immeuble. L’étape suivant fût lorsqu’il m’a été demandé de les draguer moi-même. Cela me rappelait quand, une décennie auparavant, lycéenne puis étudiante, je draguais mes profs et collectionnais amants et adultères. Les hommes mariés n’étaient pas les derniers, sauf rares exceptions, à profiter de l’aubaine. Ca se passait chez nous et même quelquefois chez eux, car j’aimais cocufier dans le lit conjugal une épouse coincée, qui ne cachait pas son mépris à mon égard. Par le canal de Gilbert, le fils de Georges, notre dévolu a porté sur les adolescents de l’immeuble et j’en ai déniaisé plusieurs. Ce n’est pas ce que je préférais car, dans cet immeuble bourgeois, ces jeunes gens étaient plutôt coincés et peu performants, à la différence des copains de cité de Rachid, dont je parlerai un peu plus loin.
    
    Bref, mon dévolu s’est porté sur tous les mâles de l’immeuble, y compris Robert, un veuf de 70 ans, qui, avec l’aide de Viagra, a été un amant vigoureux et à qui j’ai donné un immense bonheur, lui qui n’avait pas fait l’amour depuis des années. Avec l’accord de Rachid et de Philippe, je venais de temps en temps passer la nuit avec Robert. J’étais devenue sa maîtresse et il fut même autorisé, à la différence des autres, à me prendre sans préservatif et à jouir en moi. J’en profite pour dire qu’à ...
    ... l’exception de mes amants de Rio et de Rachid, j’ai toujours été attirée par des hommes plus âgés que moi. Sans doute la conséquence du complexe d’Electre de mon adolescence et que je n’avais pu réaliser jusqu’au bout.
    
    Je me suis occupée de déniaiser les « puçeaux » de l’immeuble. Ils étaient généralement contactés par Gilbert, le fils de Georges. Même si j’ai toujours préféré des amants expérimentés et plus âgés que moi, j’acceptais de rendre ce service, car je sais que ces jeunes gens n’oublieront pas leur première expérience avec la belle Olga T.
    
    Le cas le plus torride fut celui de Thierry, un lycéen de 17 ans. Ses parents nous étaient particulièrement hostiles, et je n’avais pas réussi à mettre le mari dans mon lit. J’avais remarqué que Thierry flashait sur moi et il ne m’est pas indifférent. Il est musclé, beau garçon, jeune, bien sûr et avec un sexe pas mal, car j’avais remarqué son érection un jour où nous étions ensemble dans l’ascenseur. Ce jour-là, je portais une jupe très courte et un chemisier échancré sans soutien-gorge. Je devais me rendre à la cité où Rachid m’offrait chaque semaine à ses potes. Je me suis fait un plaisir d’ouvrir un bouton supplémentaire pour qu’il puisse profiter de la vue.
    
    Je lui dis :
    
    • Passe me voir demain quand tu rentres du lycée !
    
    A l’heure prévue, je laisse la porte de l’appartement entrouverte. Quand j’entends Thierry entrer, je suis dans ma chambre. Je suis déjà nue depuis un moment, couchée, les jambes ouvertes : je me ...
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