Mes premières fois: le gendarme qui réparait les vélos (1)
Datte: 27/07/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Kes_paris011, Source: Xstory
... Le rythme est encore plus rapide. Je sens à sa respiration que l’homme qui me prend n’en a plus pour longtemps. Ca y est ! Une dernière série et ses mains se crispent sur mes hanches. Quelques soupirs, il arrête de bouger, sa queue vibre dans mon cul et je sens son front se poser sous ma tête, entre mes omoplates. Il est en sueur. Je suis un peu dégoûtée. Je me déhanche pour le faire sortir et me redresse. La jupe légère qui était enroulée autour de ma taille, retombe et recouvre mes fesses nues. Rideau. Le spectacle est fini. Je reprends rapidement mes esprits. En me retournant, je regarde en premier son sexe encapuchonné. J’ai peur qu’il y ait des traces. Mais non, le préservatif est propre. En revanche, à l’intérieur, le réservoir n’était pas suffisant. Et le sperme, emprisonné dans la capote, est remonté sur le gland et même sur le membre. Belle dose de sperme... mais sous préservatif, c’est un peu repoussant.
D’ailleurs, le visage du gendarme n’est pas très frais non plus. En sueur, la peau pigmentée de points rouges, Monsieur Maurice a perdu de sa superbe.
— Bin putain...
C’est tout ce qu’il arrive à dire en reprenant son souffle. Avec sa queue molle baignant dans son jus et son air ahuri, il ressemble à un enfant qui a fait une bêtise. Je profite qu’il se retourne et enlève la capote usagée, pour remettre ma culotte qui restait accrochée à ma cheville. Je jette un coup d’œil à ma tenue. Ca va. Pas plus catastrophique qu’en entrant dans le garage. J’ai peur ...
... d’être en retard à la maison et que maman soit déjà rentrée. J’ai l’impression que plus d’une heure a passé. En fait, entre la réparation et le sexe, cela n’a même pas duré une demi-heure. Je m’en apercevrai sur l’horloge de la maison. Je prends mon vélo pour sortir sans dire un mot. Monsieur Maurice me retient d’une main.
— Attends. Ca, c’est pour toi.
Il me glisse un billet de 50 francs dans la main et m’oblige à refermer le poing dessus. C’est quoi ça ? Il me paye ? Dans mon jeune esprit, il me paye pour me dédommager. Alors, je lui réponds :
— C’est pas la peine. J’ai bien aimé.
— Alors reviens vendredi.
— On verra.
— Je t’attendrai ici à partir de 16h.
Je sors en poussant mon vélo. Il me tient la porte.
— A vendredi, Monsieur Maurice.
J’aperçois un sourire se dessiner sur son visage. En traversant la rue, un vent sort de mon ventre, un gaz heureusement pas trop sonore, me surprend. Bref, je pète. J’ai l’impression que je me dégonfle comme un ballon de baudruche. Ca me fait sourire. Je sens mon anus encore un peu gras du lubrifiant pour vélo. Et je serre très fort, dans mon petit poing, le billet. Le soir même, je me masturbais comme une folle en prenant mon pied plusieurs fois. Rien de tel que mes doigts sur mon clito. Et avec le déodorant Narta dans l’anus, c’est encore mieux. Sa forme oblongue est parfaite. J’avais l’habitude de me l’enfoncer dans la chatte. Désormais, il connaîtra aussi la porte de derrière. J’ai revu le gendarme Maurice dans ...