1. Mes premières fois: le gendarme qui réparait les vélos (1)


    Datte: 27/07/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Kes_paris011, Source: Xstory

    ... mien. Je peux enfin tourner ma tête pour l’observer. Il détache sa ceinture en rejoignant son blouson. Il farfouille dans une de ses poches et en sort un préservatif dans son emballage argenté. Je ne suis plus une oie blanche. J’ai déjà eu des rapports sexuels, une vingtaine de fois avec des garçons différents. Sauf pour les pipes, j’ai toujours insisté pour que ces rapports soient protégés. Monsieur Maurice se rapproche de nouveau. Il a déchiré l’emballage et tient la capote dans sa main droite, tandis que de la gauche, il se débraguette. Je reprends ma position face au mur. Je pose même mes mains un peu plus loin sur l’établi afin de tendre mon postérieur. De nouveau, je sens son corps contre le mien. Il remonte ma jupe encore une fois au-dessus de ma taille, écarte un peu mes jambes d’un geste décidé. Son bassin se colle à mes fesses. Je sens son sexe protégé sous ma chatte.
    
    Il ne m’a pas encore pénétré mais ses va-et-vient me font énormément de bien. Face au mur, je ne peux pas le voir mais je sens son bas-ventre qui me tamponne. Son pantalon a dû tomber à ses chevilles. Sa main droite plonge entre nous deux. Toujours sans le voir, je sens qu’il prend son sexe bandé et le dirige, en appuyant bien fort par dessous, vers mon entrée. Ho oui, j’en ai envie. Une envie sexuelle comme je n’en ai jamais ressenti pendant mes précédentes baises. Grande première pour moi : mon vagin me semble déjà dilaté avant que je ne sois pénétrée. Et je suis plus que lubrifiée comme si la ...
    ... pluie avait ruisselé en moi. Pas d’hésitation pour Monsieur Maurice. En un seul mouvement, il a positionné sa queue à l’entrée de ma chatoune et m’a pénétré d’un seul coup de reins. Tétanisée, mutique à l’extérieur, j’ai l’impression de hurler de plaisir dans ma tête. Sa queue ne me semble pas gigantesque mais extrêmement raide. Il démarre rapidement ses va-et-vient.
    
    Puis souffle quelques mots près de mon oreille :
    
    — Je savais bien que t’aimais la queue, petite traînée !
    
    Ces seuls mots fouettent mon imaginaire. Et il ajoute à ça une accélération du rythme de sa queue et ses mains qui écartent mes fesses, étire la peau de mon périnée et ouvre encore plus mes grandes lèvres sur son sexe frénétique. Je suis aux anges. J’ai fermé les yeux et ma respiration saccadée par les puissants coups de reins du gendarme se transforme peu à peu en une série d’ahanements gémissants. Quand soudain, un recul un peu trop excessif fait sortir sa queue de mon sexe. Vite, remets-la en moi, pensais-je très fort. Mais non, Monsieur prend son temps. Sans doute pour me faire languir. J’ai rouvert mes yeux et je m’apprête à lui lancer un regard réprobateur au risque d’un torticolis lorsque je sens alors un de ses doigts se poser sur mon anus. Il appuie un peu et en teste l’élasticité. Enfin, ça, je l’ai su après car à ce moment je suis telle une statue, étonnée, hébétée et pourtant totalement consciente.
    
    Le contact digital cesse rapidement et je sens le corps de l’homme se coller à moi. Sa main ...
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