1. Mes premières fois: le gendarme qui réparait les vélos (1)


    Datte: 27/07/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Kes_paris011, Source: Xstory

    ... voici dans notre quartier, devant sa maison, presque en face de la maison de ma mère. La petite fourgonnette s’engage dans l’allée de la maison de Monsieur Maurice et s’arrête juste devant son garage.
    
    — Suis-moi. Je vais te réparer ta roue.
    
    — C’est super gentil, Monsieur Maurice. C’est vrai que je n’ai pas envie de prendre le bus pour aller au campus.
    
    Très rapidement, sous la pluie encore battante, il emporte ma bicyclette et je le suis, à l’abri dans son garage. Il allume les lumières électriques. C’est un garage clos, sans fenêtre avec un accès à sa maison. Propre, bien rangé, avec beaucoup d’outils accrochés aux murs. Quelques posters de voitures et de pin-ups aux couleurs un peu passées font office de décoration. Monsieur Maurice installe mon vélo à côté de l’établi et en décroche la roue arrière en deux temps trois mouvements. Il entame la conversation sur ma scolarité. Je suis très à l’aise avec lui. Je le connais depuis si longtemps et je suis également très proche de sa femme. Pour un homme mûr, il est plutôt pas mal. Pas très grand, mais très musclé. Cheveux bruns, un blouson léger mouillé de pluie, une petite chemise sur un torse que je devine imposant. Pas mal pour un homme qui doit approcher les cinquante ans. Pour réparer ma roue, ses gestes sont rapides et sûrs.
    
    Mais après quelques minutes, il doit tout de même enlever son blouson pour être plus à l’aise. La pluie qui a passé par l’ouverture du blouson a trempé le haut de son torse et par ...
    ... transparence, j’aperçois des pectoraux saillants et ses deux petits tétons. J’en suis troublée. Mais mon Dieu, si sa chemise est mouillée, comment est ma tenue ? Je baisse mes yeux. Mon chemisier est une serpillière qui colle sur mon soutien-gorge. Comme les deux sont blancs, j’ai l’impression que mes nénés sont sortis de leurs cachettes et se retrouvent à la vue de...
    
    Monsieur Maurice ! Je lève les yeux et je l’aperçois en train de jeter des regards gourmands sur mes deux petites fraises. Et me voici troublée. Et je dois l’avouer, flattée qu’un homme, un adulte approchant la cinquantaine, me considère comme une femme désirable. Ne plus être juste le sujet de convoitise de jeunes gens du voisinage au désir aussi exacerbé que leur acné, mais bien d’un homme fort, et, ma foi, vraiment pas mal du tout. Je sens des picotements dans mon ventre et ailleurs aussi. Quelques minutes passent sans un mot, juste des regards et des sourires presque de connivence. Il remonte la roue, la monte, gonfle le pneu, puis positionne le vélo à côté de l’établi.
    
    — Tu l’essayes ?
    
    — Oui, bien sûr.
    
    J’enjambe facilement le cadre bas de mon petit vélo mais pour monter mes fesses sur la selle, je dois mettre mes deux pieds sur les pédales. Pas facile à l’arrêt.
    
    — Attends ! Je vais t’aider.
    
    Monsieur Maurice met une main sur le guidon et une main sous la selle et maintient fermement le vélo en équilibre. Je suis coincée par l’établi d’un côté et le corps de cet homme et ses mains qui forment comme ...
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