1. Mes premières fois: le gendarme qui réparait les vélos (1)


    Datte: 27/07/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Kes_paris011, Source: Xstory

    ... gauche entre dans mon champ de vision passant par-dessus mon épaule. Rapidement, le pouce plonge dans une petite boîte ouverte posée sur l’établi au milieu d’autres outils épars. Il en ressort couvert d’une couche de gelée translucide et légèrement jaunâtre. Sa main retourne au-delà de mon épaule et je sens que par un geste précis et sans hésitation, il pose son pouce enduit de lubrifiant sur mon orifice anal. Il dessine alors un cercle humide sur mon anus avant de plonger son pouce dans la cible. Sous le coup de la surprise, je creuse mes reins mais c’est une sensation comparable au passage d’un suppositoire. Et puis, je me suis déjà enfoncé des doigts dans cet endroit lors de mes orgasmes masturbatoires. Là encore, je sens un geste circulaire et décidé, pour appliquer le lubrifiant à l’intérieur de mon cul. Je n’ai pas le temps d’avoir peur.
    
    Je n’ai même pas le temps de penser que je vais me faire sodomiser par un homme pour la première fois. Le temps pour lui de dire :
    
    — Bouge pas.
    
    Il a remplacé son pouce par la boule spongieuse de son gland. Lentement, mais d’une poussée déterminée et sans à-coups, il enfile tout son sexe dans mon anus. Arrivé à fond, j’entends un soupir de contentement de sa part. Mon anus étiré est devenu mon centre névralgique. Une pensée éclate comme une bulle dans mon cerveau. Oh merde ! Je suis enculée ! Je n’ai pas mal même si je la sens quand même bien. Sans y réfléchir, je m’entends murmurer:
    
    — Oh c’est gros !
    
    — Tu la sens bien, ...
    ... hein ?
    
    Et il se met en branle comme une locomotive qui démarre. Lentement et puissamment.
    
    — Hein ? P’tite pute, tu la sens bien ?
    
    Je ne relève même pas ses insultes. Je suis dans mon monde de stupéfaction. J’entends encore ses remarques vulgaires comme si elles ne m’étaient pas adressées mais faisaient partie de l’acte sexuel.
    
    — Ça te plaît dans ton cul !
    
    — T’aimes ça, salope !
    
    — Petite pute !
    
    Le tout rythmé par le claquement de son bassin sur mes fesses. Il me secoue comme un prunier et à cet instant, mon regard est attiré par un outil posé sur l’établi. C’est un marteau. A chaque coup de reins, l’outil semble bouger un petit peu. L’outil est presque neuf. Le manche, long et massif, en bois clair, brille sous la lumière.
    
    — Oh c’est gros !
    
    J’ai répété cette phrase. Mais dans mon esprit, je parle du marteau. La queue raide de Monsieur Maurice qui me défonce le cul, c’est le marteau. Le préservatif lubrifié qui glisse en moi, c’est le manche laqué du marteau. Chaque aller et retour dans mon anus, c’est la longueur du manche que je reçois dans mon fondement. Et, putain, c’est bon !!! Je voudrais crier que c’est génial. Que j’adore sa queue qui me défonce l’anus. Qu’il doit continuer de me bourrer le petit trou. Ne jamais s’arrêter. Mais aucun son ne sort de ma bouche. C’est tellement bon cette barre qui entre et sort de mes fesses. Pas au point de me donner un orgasme. Mais un vrai plaisir sexuel.
    
    — Karine, quel cul tu as !
    
    Les insultes ont cessé. ...
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