1. Tranche de vie


    Datte: 23/07/2023, Catégories: fh, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, confession, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... encore, sinon plus, attirant. Mon sexe, en érection depuis que j’avais lu cette promesse de retrouver ma Suzie, palpita de plus belle. Je fis durer, afin de graver en mémoire la moindre parcelle de ce corps offert, sans pudeur, simplement et si divinement étendu, que je n’avais pas eu loisir de détailler, toucher, depuis des siècles. Enfin, tout est relatif, mais… je ne l’étais plus ! En parcourir horizontalement des yeux le fin trait, délimitant le bas-ventre du pubis, me tenta, mais une urgence qui ne pouvait attendre plus longuement me fit baisser la tête.
    
    Je la sais douce cette portion de peau, tant aux doigts qu’au goût, pour en être inconditionnellement adepte et gourmand. S’il est des femmes qui peuvent se vanter d’avoir une toison fine, douce, fournie, ou bien dessinée, celle de ma Suzanne a toujours été disparate. Quelques touffes, de-ci de-là, telles quelques herbes folles en friche. Alors, depuis que ces poils frisent au milieu du désert, elle se les fait arracher. Pas très plaisant sur l’instant, pour elle, mais si agréable pour moi, ensuite. Son sexe glabre est encore, après tant d’années, une découverte et un plaisir. Il met tous mes sens en éveil.
    
    De vue, c’est une contemplation sans fin. Cette absence offre à mes yeux un panoramique sans pareil. Tout semble accessible, tel un horizon sans mensonge, sans cachotterie, sans tromperie. Du capuchon, ombrelle d’un clitoris timide, or pas farouche sitôt sorti de son refuge, mon œil coquin glissa, non sans ...
    ... lambiner mollement sa prunelle dilatée le long de sa petite lèvre. Je les adore ces deux-là, et encore plus de les voir se colorer de mille feux ! Il eut été plaisant d’en apprécier plus longuement la forme et le lisse, mais je ne pouvais retenir mes yeux polis longuement à poursuivre leurs chutes.
    
    Depuis mon arrivée, ils avaient transmis, en bons soldats, au cerveau qui avait analysé, déduit, et interprété ; mais, parfois, la raison, sinon la sottise, font perdurer l’évidence, comme pour la magnifier. Luisant, ce sexe aux lèvres béates, souriait d’avoir embrassé, il y avait peu, la jouissance. Pour preuve, si besoin se devait, l’objet de ce plaisir gisait entre ses cuisses, aussi inerte qu’elle l’était de corps allongée. Alors je les contemplai, passant de l’un à l’autre à m’en donner le tournis, cette chose il y avait peu encore vibrante, et cette fente repue. J’étais aussi admiratif qu’excité, aussi déçu qu’envieux. Avais-je trop tardé ? Aurais-je dû remettre à plus tard vaisselle et lessive. Avais-je fumé la cigarette de trop ?
    
    Fixant ce lieu, ni vu, ni touché, ni, surtout, goûté ou possédé depuis presque un mois, un sentiment de jalousie et de déception m’envahit. Ce godemichet me narguait, vainqueur, et son sexe me révoltait d’en avoir abusé ! Je me suis senti petit, trompé… Moi, qui l’avais tant de fois menée au plaisir en la pénétrant de cette chose toute encore luisante du plaisir qu’elle venait de se donner, seule, alors que toujours je la branle avec, en ami, lui ...