1. Tranche de vie


    Datte: 23/07/2023, Catégories: fh, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, confession, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... promis, dès demain, ta femme est de retour. Je sais qu’elle te manque, mais… tu sais comment je suis.
    — Oui. Et c’est pour ça que je t’aime.
    — Moi aussi je t’aime. Mais je suis vraiment trop claquée pour te le prouver ce soir. Promis, demain ta femme sera dans ton lit.
    
    ooOoo
    
    Comme toujours la soirée fut émerveillements et félicitations de tous. Que ce soit table, décorations, repas, ma femme a reçu compliment sur compliment. Le dernier à partir fut le fiston. Après l’avoir serré dans nos bras, on le regarda chevaucher son scooter et rentrer chez son père biologique. Chez lui, il fêtera, pour la seconde fois, à midi, sa majorité révolue.
    
    — Laisse. Je vais débarrasser. T’es crevée.
    
    Elle n’insista pas, et monta. Après avoir rempli le lave-vaisselle, lancé la machine à laver, et fumé une dernière cigarette, je montai enfin. Il était presque quatre heures du matin, et j’étais, moi aussi, crevé. Je bâillais en grimpant les marches, mais la fatigue se mua en excitation lorsque je lus le mot scotché à la porte de la salle de bain.
    
    Suzie… De lire ce prénom me ramena dans le passé, au début de notre amour. C’était derrière ce pseudo que se cachait celle qui allait devenir ma femme, mère du gosse, et de mon enfant de cœur. Des étoiles plein la tête, je me douchai rapidement. Sauf les cheveux, sinon, au réveil, me coiffer c’est mission impossible. Simplement vêtu d’une serviette sèche, nouée sur le ventre, je pris le chemin me menant à elle. Par la porte entrouverte ...
    ... de la chambre, une lumière vacillante illuminait le mur du couloir. Mais, étrangement, je ne percevais aucun son. Même si elle regarde toujours la télé au lit en baissant le volume sur huit, voire moins, dans ce silence matinal, j’aurais dû entendre un fond. Mais rien. Étonné, je fis une pause et tendis l’oreille. Strictement rien d’audible. Alors, lentement, j’ouvris.
    
    Ce que je vis en premier fut la tête de celle qui semblait dormir, le visage coloré de mille couleurs par ce que diffusait l’écran. De la regarder ainsi, passer par toute la palette de l’arc-en-ciel, me troubla et me charma. Sa blancheur de peau se teintait, et me renvoyai, tel un prisme réfracte la lumière, ce que la dalle illuminait dans mon dos. Puis ma vision périphérique m’alerta, et me ramena à la réalité. Elle était nue, corps entier à découvert du drap qu’elle avait rabattu. Regard descendant, je cadrai, tel un photographe fait la mise au point, et zoomai. Ma vision fovéale buta, s’attarda, détailla, et excita alors, plus que les millions de cônes de mes yeux, les battements de mon cœur. Après avoir parcouru l’arrondi de ses seins, m’être délecté de leurs mamelons fermement saillants, j’appréciai de la vue ce lieu où, toujours, mes doigts aiment se perdre : ses poignées d’amour. J’en suivis le bourrelet, le longeai jusqu’à ce qu’il disparaisse dans son dos, puis fit chemin arrière, jusqu’à sa naissance, et bifurquai enfin au centre.
    
    Allongée, il avait perdu de sa rondeur, mais son galbe m’était ...
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