Après tout...
Datte: 17/07/2023,
Catégories:
fh,
voisins,
jardin,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... plaquées sur les vitres de la véranda, ronronnant et miaulant comme une chatte en chaleur. La posséder enfin me rendait fou, pilonnant et claquant à toute volée son cul généreux, je me rendais à peine compte du bonheur de trousser ce corps somptueux. Mon cerveau reptilien avait pris le pouvoir, il fallait à tout prix que je lâche ma semence dans le ventre de cette femelle. Je n’eus de cesse de poursuivre mon martèlement que lorsqu’enfin un prodigieux éclair explosa dans ma tête, tandis que cent lames d’acier de Tolède me perforèrent les reins. Je remplis l’accueillant gousset de Mylène d’une demi-douzaine de lourdes charges de sperme épais, un dosage de compétition réservé à la survie de l’espèce.
Nous ruisselions l’un et l’autre de chaleur, d’épuisement, de plaisir et du bonheur d’un devoir enfin accompli. Mais j’en voulais d’autres. Pardon, il m’en fallait d’autres. Sa bouche, ses seins, sa peau, ses mains, son petit trou du cul… Tout ! Il me fallait tout et tout de suite. Bien sûr, mon érection retombait, mais pas ma soif de cette femme si pulpeuse et désirable. Je sus qu’elle partageait cette fureur impérieuse quand elle se retourna et plaqua ses lèvres rendues plus épaisses encore contre ma bouche, pour une chose plus puissante qu’un baiser. Elle me dévora littéralement lèvres et langue, aspira ma salive, fit son souffle de mon souffle, griffant mon corps nu pour mieux le plaquer contre le sien, comme si elle voulait s’y fondre. La folie du désir mutuel nous bascula ...
... sur la table de bois où nous avions tant de fois partagé un repas estival. J’aspirai tour à tour ses oreilles délicates, son cou soyeux, ses seins majestueux et tendres, son ventre bien formé de mère, sa chatte encore, ses cuisses, ses pieds érotiques, et sa rosette justement si rose, si serrée, si plissée.
Certain de mon envie et ignorant son avis, je forçai d’abord ce passage étroit de ma langue, puis utilisai le flot discret de sperme et de cyprine qui sourdait de sa chatte pour y plonger d’abord un doigt, puis deux, puis trois. Ses gémissements à mon intrusion, témoignage d’une femelle ardente au plaisir, réveillèrent aussitôt ma queue un instant apaisée. Contournant la table, je la lui fis sucer pour en assurer la rigidité retrouvée. Elle se prêta avec gourmandise et adresse, la mettant à nouveau dans un état apoplectique. Je partis alors à l’assaut du chemin détourné, ses pieds sur mes épaules, son clitoris sous mon pouce. La prise de la pastille ne se fit pas sans effort, la place se défendait ardemment malgré la bonne volonté de sa maîtresse.
C’est au bord du renoncement, dans un instant de relâchement, que l’anneau lâcha presque par surprise, je le lus dans les yeux écarquillés de Mylène. Puis ensuite, ce fut sa bouche arrondie qui me renseigna sur ses sensations durant ma progression, plus étonnée que souffrante de cette intrusion atypique. Pour ma part, il suffisait de laisser faire la nature : plus les muscles de Mylène se contractaient, plus le sang restait ...