Après tout...
Datte: 17/07/2023,
Catégories:
fh,
voisins,
jardin,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... jamais je ne l’avais montré.
Mais ce matin-là, je ne travaillais pas et en profitai pour étirer ma flemme sous la douche vers onze heures, après deux heures de divagations sur Internet. Envie d’une clope, direction véranda une serviette autour des reins. Et là, je tombe sur Mylène, entrée par le jardin dans une véranda toujours ouverte, penchée sur une cagette qu’elle remplissait délicatement des cerises qu’elle venait de cueillir. Postérieur charnu, protubérant, taille fine, buste en V, transparence de cotonnade en contre-jour, gaule immédiate… Et cette peau blanche, laiteuse, ces bras épais dépassant des petites manches bouffantes, ces jambes galbées jusqu’aux chevilles puissantes, de tout ce que je devinais en transparence et en imagination… Et puis cette odeur, enivrante, fragrances de soleil, de sueur, d’eau de toilette et de corps de femme mélangées… Elle était chaude et humide de sueur par le soleil et l’effort, j’étais chaud et humide de la douche, nous étions accordés. Elle entendit la porte derrière elle, sans se retourner elle dit :
— Je viens de cueillir des cerises. Il y en a tant cette année… Je vous en apporte un peu. Elles sont délicieuses, j’en ai mangé autant que j’en ai cueilli…
Cet aveu de gourmandise résonna en moi comme celui d’une femme jouisseuse de la vie, de ses sens. Jamais Solène n’avait d’excès en quoi que ce soit. Certes elle était parfaite, mais la perfection lasse un peu à la longue, ou fait trouver plus charmants les moments ...
... d’abandon… Je ne pus m’empêcher, j’avançai vers ce cul majestueux et me collai tout contre, saisissant des deux mains les lourdes mamelles de Mylène que je savais pendre sur sa face cachée. Elle stoppa juste son geste, interrompant la chute précautionneuse des cerises du panier à la cagette. Comme elle ne bougeait pas, ne protestait pas, je me mis à profiter de ce corps taillé pleine pulpe, pétrissant les seins et frottant mon dard gonflé dans la raie de ses fesses. Elle n’avait pas de soutien-gorge, ses lourdes glandes étaient vraiment plus fermes que je les imaginais. Elle se redressa lentement en posant son panier, jusqu’à ce que sa tête bascule en arrière sur mon épaule, les yeux sûrement fermés. Sa bouche près de mon oreille susurra :
— Prends-moi… Baise-moi…
Oh oui, Madame. Quatre ans de désir contenu explosèrent alors dans tout mon corps, dans le sien aussi. Une main pour relever la robe, une autre pour baisser la culotte, et je l’enfilai sans autre forme de procès, sans difficulté non plus, car les trente secondes précédentes avaient suffi à détremper totalement sa chatte. Hum ! Sa chatte… Encore une fois, l’opposée de Solène qui avait le minou rasé et très étroit. Mylène avait un gros mont de Vénus bien velu, une chatte large qui avait vu passer deux crânes d’enfants. Mais l’intérieur était comme tapissé d’une couche épaisse et souple qui semblait vous aspirer le gland dans une succion d’une douceur inouïe. Elle décollait de terre sous mes assauts frénétiques, les mains ...